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Ce catalogue, non exhaustif, permet d’être renseigné sur l’expérience subjective du rêve, en catégorisant son récit en fonction d’une classification précise mais nuancée.
Toutes ces informations permettent, tout en individualisant chaque archireveur·euse, de comprendre un instant de notre histoire commune et d’y voir l’altérité de nos alter ego.
En répondant à ces questionnaires, vous permettez d’enrichir les possibilités de la recherche onirique tout en conservant votre anonymat d’archireveur·euse.
Les axes de recherche majeurs de la science du rêve portent sur les échos entre les intérêts de l’individu dans l’éveil et sa production onirique ; ainsi la majorité des questions cherchent à mieux cerner la personnalité de l’archireveur·euse éveillé·e et ses conditions de vie quotidienne.
Certaines questions et catégories proviennent du site et d’enquêtes de l’Insee, de discussions avec des chercheuses, chercheurs, de textes universitaires ou d'articles journalistiques.
D’autres questions se nourrissent d’intuitions plus libres exprimant l’envie de découvrir de nouvelles corrélations statistiques.
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FILTRES
Niveau de lucidité i
Typologie de rêve i
Période
SUPPRIMER LES FILTRES
Niveau de lucidité
Nous ignorons la plupart du temps que nous sommes en train de rêver, tout nous paraît clair, normal. Même si le monde va à l’envers, nous avons comme l’impression de l’avoir toujours connu tel quel, ou du moins nous ne nous interrogeons pas sur son manque de cohérence.
Mais il arrive que certaines zones du cerveau s’illuminent et rendent à l’archireveur·euse les fonctions de la « pleine conscience ».
Il y a parfois un gouffre qui sépare la prise de conscience et son absence, mais toute la gamme des lucidités, qui s’échelonne entre ces états, dépasse souvent ses marges et est à considérer avec nuance, tant ses frontières peuvent êtres floues.
Et plus on écrit ses nuits, plus on en parle et fait des tentatives, plus on peut espérer atteindre l’état lucide du rêve.
J’ai l’impression de sortir de mon corps et d’observer l’environnement depuis une position distincte de ce dernier.
Je crois m’être réveillé pour de bon alors que seul un changement de décor onirique a eu lieu.
Je rêve que je suis lucide. Par exemple, je m’endors à l’intérieur de mon rêve et je rêve que je suis en train de faire un rêve de lucidité tacite. Je peux être pleinement lucide dans ce second rêve mais je garde une fausse mémoire de mon rêve non lucide. Je crois que les circonstances réelles de mon sommeil étaient celles de mon premier rêve.
Je sais que je rêve, je dispose de mon libre arbitre et d’une faculté normale de raisonnement. Je dispose d’importantes capacités, d’un bon accès à ma mémoire d’éveillé et je n’ai pas de fausses croyances.
Je me crois dans un autre monde, j’agis avec des capacités surnaturelles comme en rêve lucide. Cependant je ne réalise pas que je rêve, je pense être encore dans la vie diurne.
Je ne remarque rien d’anormal, je pense être totalement conscient, comme dans la vie diurne.
Je suis tout à fait conscient, mais je ne peux pas effectuer le moindre mouvement ; je peux ressentir des impressions d’oppression, de suffocation, de présence maléfique et de mort imminente, mais aussi des hallucinations auditives, sensitives ou visuelles, avec le plus souvent un sentiment d’anxiété et de frayeur.
Je sais que j’étais en train de rêver mais je ne réalise pas que je rêve à présent. Ce peut être suite à un faux éveil. Je parle de lucidité, je raconte le rêve que j’ai fait précédemment, je note mon précédent rêve, par exemple, dans mon propre rêve.
J’émets un doute sur la réalité de l’environnement sans pour autant pleinement réaliser que je rêve.
Je me retrouve entre deux rêves. Je suis conscient de dormir. Je peux avoir la sensation de mon corps endormi, mon esprit est actif mais je ne rêve pas. Cet état peut se rencontrer pendant une paralysie du sommeil.
Je suis à deux doigts de toucher la lucidité mais mes possibilités sont réduites. Je dispose de faibles capacités cognitives, je n’ai presque pas accès à ma mémoire éveillée et j’ai de fausses croyances, je suis trop excité. Je perds rapidement ma lucidité.
Un endormissement très bref qui ne laisse en mémoire qu’une scène fugace, un flash, presque une hallucination.
Typologie de rêve
Les frontières n’existent pas dans le sommeil mais, afin de mieux comprendre les rêves, de les discerner et d’en percevoir toute la gamme, tentons de définir de quelles essences ils sont faits, de quelles espèces ils proviennent.
Ce catalogue, non exhaustif, permet d’être renseigné sur l’expérience subjective du rêve en catégorisant son récit en fonction d’une classification précise mais nuancée.
Mon rêve semble se calquer sur la réalité.
Mon rêve me provoque une forte émotion négative, comme de la peur ou de l’horreur, mais également du désespoir, de l’anxiété ou une grande tristesse.
Mon rêve me paraît ordinaire, sans typologie ou force particulière.
Mon rêve coïncide avec mon environnement au moment de la phase de sommeil.
Mon rêve m’apporte quelque chose de nouveau, comme l’idée d’une œuvre artistique, l’invention d’un nouveau concept ou bien une réponse à un questionnement.
Mon rêve n’a pas forcément de lien avec ma vie privée et m’annonce un événement futur pouvant se réaliser.
Mon rêve s’apparente à d’autres, plus ou moins similaires, qui apparaissent plus ou moins fréquemment.
Mon rêve est érotique. Je peux avoir un orgasme ou ressentir du plaisir.
LES RÊVES
Lingots d or
J ´avais en ma possession une quantité énorme de gros lingots d’or.
vol en entreprise
J'ai rêvé qu'avec trois amis on était dans une énorme entreprise et on s'était décidé à voler quelques trucs.
Trans*lucide
Je me balade avec des amies, on est d'abord en pleine campagne là où on était à nos dernières vacances puis transition en plein centre-ville, en marchant je remarque que mes chaussures ont changées, j'avais des baskets auparavant et là je suis en bottines. Je regarde mes mains et je compte six doigts sur la main gauche, chouette un rêve lucide ! Mes amies se demandent pourquoi je m'arrête, je fini par embrasser E. pour tester et le feeling est assez proche de la réalité, L. a l'air jalouse et veux aussi son moment mais je la repousse de la main. Le rêve a amplifié la violence du geste car elle est propulsée à quelques mètres 😅. Je vais la voir couchée par terre et me fait la remarque qu'elle a une poitrine plus grosse que dans la réalité. Je palpe sans scrupule L. qui a l'air encore dans les vapes et je me dit que je pourrais essayer une augmentation mammaire. Je prends une grande inspiration en essayant de ressentir l'air puis expire en relâchant la poitrine et en me focalisant dessus. Je sens en effet comme une augmentation, je continue progressivement et soupèse le tout, je crois avoir gagné quelques tailles. Je passe devant un cinéma et m'aperçoit dans le reflet, j'ai bien une silhouette différente et je remarque que mes vêtements ont encore changés, je porte maintenant une robe échancrée et je n'ai plus mon soutif... Je sautille comme une gamine et je sens bien l'ensemble rebondir (oui j'assume totalement). ***Oubli*** Je me retrouve en boite et L. et E. ne sont plus là. Je croise quelques hommes très à mon goût et je sens que mon inconscient veux me titiller. Tout le monde danse « collé serré » et je peux même sentir quelques « excroissances » de certains mâles en chaleur autour de moi. Je fini par céder aux pulsions de mon esprit tout en essayant de garder un certain contrôle. J'attrape le premier mec et le tire en direction d'un coin tranquille. Je fais ma brutasse et arrache sa chemise, le rêve amplifie encore mes gestes et j'adore cette sensation de pouvoir. Je fais de même en tirant de part et d'autre de son jeans et il se déchire laissant l'homme en sous-vêtement. Je fini par le pousser et le mettre au sol comme mon amie. Dans un dernier élan bestial je tire sur son caleçon et il finit par être nu (et bien pourvu). Comme le rêve tourne toujours à mon avantage, en plus de ne plus avoir de soutif, je ne sens plus de culotte également. Je « m'assoie » sur l'homme et trouve ma place aussitôt. Je m'agite, remue dans tous les sens et la sensation de chaleur m'envahit. Le partenaire est plutôt passif mais toujours « ferme ». Je me retire et décide d'examiner l'anatomie du monsieur. Son extrémité frétille et je m'interroge sur la particularité masculine. Je l'attrape en main et dans la continuité de mon aventure je l'arrache d'un coup sec. Pas de cri de douleur ni de sang, mais à la place sur l'homme une peau presque lisse et quelques poils clairsemés. Je tiens désormais non pas un jouet mais un organe dont je sens les battements comme si le sang affluait encore. Forcément j'examine, étudie l'engin dans tous les sens comme une gosse. La texture, les plis, tout est réaliste. L'homme est interloqué alors que je lui ai volé une partie de lui. Et puis me vient une idée, pas celle auquel on pourrait penser forcément. Je relève ma robe et place l'engin comme pour l'intégrer à mon corps. Je ressens la peau qui se « soude » à la mienne, je ne sais pas si cela comprends les terminaisons nerveuses mais je me concentre pour intégrer cette nouvelle partie de moi. Je ne sais pas si c'est un bug du rêve mais la peau du dessus s'étire et se relâche toute seule comme si quelqu'un le manipulait, de plus l'homme émasculé semble avoir disparu. Une fois bien collé, je l'attrape et oh magie je sens bien ma main autour. Cela suffit pour m'exciter et me faire perdre la stabilité. ***Oubli*** Je suis toujours en boite de nuit en train de danser et mes amies sont de nouveau là. L. à l'air de m'en vouloir pour tout à l'heure alors que je continuer de danser. J'ai envie de la choquer avec mon attribut. Je lève devant elle ma robe en criant « tada ! » Elle me réponds « ahaha très drôle la blague ». Mais bon la « blague » va aller plus loin. Pour aller jusqu'au bout de mes essais je tire aussi sur ses fringues, sa jupe descends et le reste idem. L. se retrouve dénudée au milieu de la piste mais ça ne choque personne. Je l'emmène plus loin et la situation change encore, je trouve un lit et on s'installe dessus. Je ne sais pas si les sensations sont comme ça pour la nature opposée mais tout s'imbrique bien et la sensation de chaleur est de nouveau là. Néanmoins, tout ne tiens pas très bien comme si cela se décrochait. Je ne vais pas « jusqu'au bout » au sens masculin du terme. L. semble gênée et s'énerve. Je me retire, ôte l'appendice et en fait cadeau à L. pour l'embêter jusqu'au bout (je lui fait l'opération chirurgicale). Je rigole bien devant L. qui tente avec du mal de s'en débarrasser en tirant dessus. Je veux échanger les rôles mais je suis tirée du lit par mon téléphone qui vibre.
la petite danse
J'ai rêvé que j'étais un petit bonhomme aux alentours de 1800 en France. Dans une cour d'un château je devenais grand par mon envie de battre les autres : j'appris le jeu de carte. Une grande et âgée danseuse de faubourg représentait devant un petit comité et me prit par la main pour que je danse avec elle. Je ne savais pas danser j'étais raide ce fut une catastrophe. Elle me dit en dansant que si j'avais ruinée son spectacle elle me tuerai. Je vis sa tête complètement grisé par le maquillage. Je la trouvais belle, elle était horrible. Finalement elle eu une bonne note je fis les hommage et je voulais apprendre la danse. J'étais énervé je cassais un outil de sport en bois.
Le petit téléphone
J'ai rêvé que j'avais volé dans une grande entreprise un petit portable à la valeur de mille euros. Hyper beau les gens le voulaient dans la rue.
Horreur et labyrinthe dans le métro en pleins JO
En attendant un métro avec J., je remarque un père et son enfant qui s'amusent à faire du Judo sur le quai. J'ai un très mauvais pressentiment et pour cause, quelques secondes plus tard, l'enfant tombe entre le quai et le métro qui roule à pleine vitesse. Mon premier réflexe est de masquer les yeux de J. qui n'avait rien vu jusqu'ici. Je ne voulais pas qu'elle soit choquée à la vue de cette scène horrible. Je lui dis alors de courir avec moi pour partir mais nous nous perdons l'un et l'autre dans les dédales du métro. Il y a beaucoup de monde car nous sommes en pleine période des JO. Je la cherche désespérément sans la trouver puis me décide à l'appeler. La sonnerie dure un temp fou et je finis par sentir un téléphone vibrer dans ma poche... c'est le téléphone de J. qui ne l'a donc pas avec elle. Je panique à l'idée de ne jamais la revoir, puis me mets à espérer qu'elle aura pour premier réflexe de venir chez moi afin de nous y retrouver.
Course
Je ne me souviens plus des circonstances exactes, mais ma mère et moi devions partir pour le Brésil. Nous avions nos billets d'avion, mais l'enregistrement n'était pas encore fait. Cet enregistrement est devenu incroyablement compliqué, une véritable énigme à résoudre. C'était comme une aventure pour comprendre comment le faire. Le frère de ma mère s'est proposé de l'aider à s'occuper de cet enregistrement, mais elle refusait, n'ayant pas confiance en lui. Pourtant, je sentais qu'il voulait sincèrement l'aider. Il était sûr de lui, insistant pour lui prêter main-forte malgré ses réticences. Il disait : "tu vas partir au Brésil", en forçant un peu la situation. De mon côté, je lui disais : "Maman, laisse-le faire, j'aimerais aussi qu'il m'aide." Mais il m'a répondu, : "isi, occupe-toi de ton propre enregistrement, tu es capable de le faire." Comme s'il savait qu'il devait se concentrer sur ma mère. Dans cette aventure, ma mère et moi nous sommes retrouvées à un moment donné dans un endroit où il y avait du feu. Cela m'a semblé bizarre, alors je lui ai dit : "Maman, on est dans un rêve !" Dans mon rêve, je savais que lorsqu'on est conscient de rêver, on peut obtenir des pouvoirs. On me l'avait déjà dit. Alors j'ai répété : "On est dans un rêve !" Et là, un déclic s'est produit, comme une clé qui ouvre une porte vers un monde féerique. Grâce à mes pouvoirs, je pouvais manipuler le feu : l'arrêter, le déplacer, le faire voler. Un peu plus tard, j'ai à nouveau oublié que je rêvais, bien que ma mère et moi semblions toujours posséder nos pouvoirs. Cette histoire d'enregistrement et de prendre l'avion continuait. À un moment, je suis allée aux toilettes. Il y a beaucoup de détails qui me manquent, mais en sortant, j'ai vu ma mère, pressée, qui voulait me dire au revoir. Elle me disait qu'elle devait partir car son vol était avant le mien. R. avait d'ailleurs un peu modifié son billet. Je lui ai demandé : "Pourquoi es-tu si pressée ? Je n'avais pas compris que tu devais partir maintenant, surtout pendant que j'étais aux toilettes." Elle ne m'a pas vraiment expliqué, mais elle a commencé à courir vers un immense portail magique. Ce portail permettait, une fois enregistré, de se téléporter directement à l'aéroport. Mais le temps s'est écoulé d'une seconde à l'autre, et elle s'est heurtée contre le portail qui s'était refermé, lui refusant l'accès. C'était maintenant à mon tour de m'enregistrer. Je lui ai dit de ne pas s'inquiéter, que nous trouverions un message d'erreur sur l'écran pour expliquer la situation, que tout serait résolu d'une manière ou d'une autre. C'était une question de minutes, et c'est à ce moment-là que je me suis réveillée, sentant la pression monter en moi.
voyage en iran
J'ai rêvé que j'allais en Iran avec O. D. nous montrait deux trois trucs et j'avais quelques mots en farsi qui me revenait salam khoubi ? Il y avait de grandes montagnes enneigées et un petit village avec une rue centrale.
Rêve lucide d’un combat avec une succube
Je crois être toujours éveillé. Je suis allongé dans mon lit, dans le noir complet. Au loin j'entends un bruit très faible. On dirait une page d'information à la radio ou à la TV. Mais le son est trop faible pour que je comprenne de quoi ça parle. Est-ce une HH (hallucination au moment de l'endormissement (hallucinations hypnagogiques), ou au réveil (hallucinations hypnopompiques)) ou est-ce la réalité ? J'ai l'impression d'être trop réveillé pour que ce soit une HH. Le bruit dure un bon moment puis s'arrète... J"écoute le tictac du réveil et le bruit des quelques voitures qui passent... et le son me parait anormal, déformé, irréel. Serais-je endormi ?... Soudain je remarque qu'on dirait que deux mains ont attrapé mes bras et tentent de me plaquer contre le lit dans l'obscurité.. Mais la sensation n'est pas trés nette. J'ai de plus en plus l'impression que c'est un rêve... Je sens que mon corps est allongé sur le dos, légèrement tourné vers la droite. Soudain je roule sur moi-même vers la gauche ("à la Raduga") pour voir... Les deux mains n'opposent qu'une faible résistance et j'arrive à saisir mon agresseur. Je sens un corps de femme nue, avec une peau un peu flasque. Bon, OK, j'ai compris : C'est bien un rêve et j'ai affaire à une succube qui tente de me ..... La créature m'apparait enfin; c'est bien une femme nue, assez belle, avec de longs cheveux bruns. Lé décor est toujours entièrement noir. J'attrape la succube et alors le décor se matérialise : Je me trouve dans ma salle à manger. La succube et moi nous combattons brièvement. Elle se débat mais j'arrive à la retourner et à la plaquer sur le sol, le dos contre le carrelage. Je me dis que ça ne doit pas être agréable pour elle car ce dernier est probablement trés froid. Je ne veux pas la détruire car elle est trop mignonne... Elle voulait me ..... mais à présent c'est moi qui la .... Mais je n'ai presque pas de sensations. Elle me regarde dans les yeux avec un visage sans expression. Je lui dis "Je te ..... !" et je m'active d'avantage ... mais elle reste impassible. J'interprète celà comme une marque de mépris et de dédain envers ma "performance". Je me sens vexé... Je commence à me demander ce que je pourrai faire d'autre après et dans quel autre décor je pourrai me projeter... ... Mais je me réveille.
Rêve lucide de mes parents décédés.
Je vais dans ma cuisine... et je me retrouve face à mes parents. Mais cette fois je ne me fait plus avoir : Je me souviens parfaitement qu'ils sont décédés depuis 10 ans. Je leurs dis "Je sais que vous êtes morts. Donc nous sommes dans un rêve !" Je me souviens vaguement qu'il existe une quête Iktomi (du forum attrape-songes) consistant à demander à un personnage de rêve ce qu'il devient quand on se réveille... mais je préfère ne pas poser la question de manière trop directe et brutale. Je demande à mes parents s'ils sont bien conscients que nous sommes dans un rêve et qu'ils ne sont quedes personnages de rêve. Mon père répond "...Oui..." d'un air impassible. Je lui demande si ça ne lui fait rien d'être un personnage irréel. Mon père répond "...Non..." d'un air blasé. Puis mes parents s'éloignent dans le couloir comme si mes questions les ennuyaient... Mais je les suis. Je demande à mon père si ça ne lui fait pas peur de savoir qu'il risque peut-être de disparaitre si jamais je me réveillais. Il me répond "...Non..." d'un air lassé. Je pense que le moment est devenu de lui demander s'il sait ce qu'il va devenir après mon réveil... même si je devine qu'il risque de me répondre d'un simple "Oui" ou "Non"... Mais soudain je me rend compte d'une chose : ma situation est tout à fait comparable à celle d'un personnege de rêve, car... Mais je ne me souviens pas qu'il y ait eu une suite ... Je suppose que je voulais dire que moi aussi je disparaitrai à la fin de ma vie... ...Je suis brusquement réveillé par machatte Chouchou qui est en train de vomir dans le lit.
Couples
Je suis à un mariage avec E. et mes amis. O. m'avait donné une sorte de sirop de drogue et en avait déjà mit dans nos verres. Avec E. on avait volé, dans notre chambre, un jean Gucci et plein de produits de beauté. On partageais cette chambre avec un couple de lesbiennes (une a la peau noire et l'autre, blanche) et il y avait quelque chose entre moi et l'une d'elle (celle à la peau noire). Après plein de simagrées on s'est embrassés. De retour sur Paris je recherchais du travail dans une librairie (rêve récurant - où parfois je ne sais plus si c'est un rêve ou pas) en bas de chez U. et M. Ils avaient déjà engagé quelqu'un. Dans la rue, je rencontre une femme et un homme à la peau noire qui font une sorte de danse acrobatique où ils montrent leurs sexes. J'avais très envie d'appeler la fille du début mais l'un des danseurs m'a dit que j'étais surement défoncé au mariage et qu'il ne fallait pas croire ces sentiments.
Rêve lucide contre les Huns.
Je suis probablement en sommeil lent car je ne fais qu'une simple rêverie. Je m'imagine en héro courageux et invincible... Soudain je bascule en sommeil REM (sommeil à mouvements oculaires rapides). Je me retrouve dans un paysage de landes de type écossais. Partout il n'y a que des collines couvertes d'herbes. Et voila qu'une armée surgit du sommet d'une colline. Ce sont des Huns ! J'empoigne ma grande épée (une Claymore) et m'avance vers eux. Même si je dois succomber sous le nombre, je ne me déroberai pas et je tuerai de nombreux ennemis avant de périr moi-même. Je fais de grands moulinets avec mon arme et abas un nombre incalculable de Huns. Mais je vois que leurs ailes gauche et droite commencent à se refermer sur moi pour m'encercler. Je ne pourrai pas tenir longtemps dans cette situation. Heureusement mes hommes arrivent à mon secours et attaquent les deux ailes de l'armée ennemie. Je continue de tuer des tas de Huns mais je vois que mes hommes ont du mal à résister. Soudain les Huns abandonnent la partie et s'enfuient. Quand je vois le nombre de cadavres d'ennemis qui gisent sur le sol, je comprends que nous venons de remporter une grande victoire. Mais l'ennemi est toujours sur nos terres... (... Ellipse ...) ... Les troupes du roi Arthur sont venues renforcer mon armée. Nous traversons une haie et nous retrouvons devant une grande pâture. En face l'armée des Huns traverse une autre haie et se dresse devant nous. Il est temps d'en finir. Plutôt que d'utiliser nos épées, nous sortons nos arcs et les deux armées en présence s'envoient des volées de flèches. Comme les Huns sont moins nombreux ils se font massacrer. Rapidement il ne sont plus qu'une disaine. Je donne l'ordre de ne pas laisser de survivants. Finalement il ne reste plus que trois Huns : Attila, leur chef, est au centre. A sa gauche est un grand guerrier... qui se fait vite tuer par une flèche. A sa droite se trouve un gros guerrier moustachu qui saute sur un cheval et s'enfuit. Il monte bizarrement : Il est allongé sur le dos, les yeux tournés vers le ciel. Soudain Attila fait apparaitre un petit arc dans ses mains. A une vitesse incroyable il décoche une flèche sans même viser et atteint le fuyard qui quittait lâchement le combat. Attila nous regarde alors avec un grand sourire et dit "C'est bien ça que vous vouliez faire ?" . Puis il explique qu'il est le plus grand archer du monde et nous propose ses services. Je sens que les soldats d'Arthur son plutôt favorable à l'incorporer parmi eux et cela me révolte. Moi je voudrais qu'il soit mis à mort pour tous ses crimes... (Je suis tellement dégouté que le rêve bascule et recommence depuis son tout début. Ca me donne ainsi la possibilité d'en modifier le scénario ...) ... Je suis avec les soldats du roi Arthur. Nous nous trouvons dans un petits bosquet en train de préparer nos armes. L'ambiance fait plus penser à Robin des bois qu'aux chevaliers de la table ronde. Je ressens une impression de déja-vu. Soudain je comprends que je suis en train de revivre le rêve précédent ... et je deviens lucide. Mais je n'utilise ma lucidité que pour accélérer le défoulement de l'histoire. Tout ce qui m'intéresse c'est de me retrouver à nouveau devant Attila pour lui faire payer ses crimes. Je m'approche du roi Arthur. Je vois qu'il est représenté par Alexandre Astier comme dans la série Kaamelott. Je lui dis "Mais maintenant, sire, nous avons des choses plus importantes à faire. Nous devons aller combattre les Huns et nous couvrir de gloire !" Arthur m'indique qu'il est d'accord et son air entendu me fait comprendre que lui aussi sait que nous sommes dans un rêve qui recommence. Tous ses hommes l'acclament et nous prenons la route, passant par un chemin de terre situé entre un bois à gauche et une grande haie à droite... R4 : ... Je perd ma lucidité et bascule dans un faux-réveil. Le rêve est flou et je me sens assez somnolent. Je me lève et quitte ma chambre. Ma cousine C. est la. Mais je ne m'occupe pas d'elle car je suis occupé à la remémoration de mon dernier rêve. Lorsque j'arrive au passage où je comprends que je suis dans un rêve qui se répète, je m'exclame : "Mais c'était un rêve lucide que j'ai fait ! Je ne m'en étais pas rendu compte tout de suite ! C'était une petite lucidité, mais une lucidité quand même !" Je me tourne alors vers C. et lui dis : " J'ai fait un rêve lucide cette nuit !"... Mais je vois bien qu'elle s'en fiche. A son air je comprends qu'elle en a marre de ma lubie des rêves lucides. Je me réveille.
A l’usine
J'ai rêvé que je travaillais a la chaîne dans une usine. Avec E. on avait rencontré un garçon et naturellement elle commençait à s'asseoir sur lui a lui faire du pied devant moi. Moi très compréhensif je la laissai faire pour montrer mon ouverture. Au fur et a mesure on comprenais ce qu'on comprenais c'est a dire qu'il y avait possibilité d'un amour autre. Je tombais des nus. A l'usine ça allait pas fort ma collègue démissionnait du aux fureurs du patron. Je fis de même en le menaçant de venir le voir le soir tard avec un surin dans ma poche. Ça allait pas fort.
6 énormes selles de cheval et les intrus
j’entends le cliquetis d’une porte pendant que je petit déjeune mais je m’inquiète pas, on entend tout quand on est dans l’entrée ça doit pas être la mienne j’enchaine les paralysies du sommeil mais rien de nouveau ou trop effrayant d’un coup, la paralysie est plus intense et je vois un homme immense, jsp il fait américain comme sur les logos, barbe blanche, gros haut de forme et costume tout bleus, qui me regarde fixement sur le pas de ma porte, il a un regard persan cette fois j’ai vraiment le visuel qui va avec la paralysie et j’ai peur, j’essaye de crier mais j’y arrive pas, je finis par y arriver avec difficulté comme dhab (sauf que j’avais jamais essayé de crier avant) je me réveille et vais voir mon colocataire qui a dû m’entendre gémir geindre ou jsp quoi pour lui raconter j’entends encore le cliquetis de porte, et ça commence à me faire peur mais sans plus j’arrive dans la chambre et là mon coloc lâche d’énormes trucs noirs, un peu comme des protections équestres pour les chevilles je crois, avec du blanc au bout, qui volent tous parallèlement en faisant un bruit de malade de mouche, (ils font environs 20cm chacun et volent très bas) du sable, tombe par terre et une odeur de crottin ou caca de chien très forte monte d’en l’air j’entends encore le cliquetis je me précipite dans l’entrée et vois 6 énormes selles de cheval par terre, toutes parfaitement alignées en 2 lignes parallèle je me demande ce que c’est que ce bordel et appelle mon coloc, d’un coup je vois l’ombre de quelqu’un à la porte, d’une jeune fille d’environs 14 ans jsp on a une première porte en verre qui rentre dans le renfoncement du mur (je me fais la réflexion que je l’avais jamais remarqué) et notre deuxième porte habituelle seule la porte en verre est fermée et mon coloc allume la lumière ce qui fait qu’on voit tout sur le pallier et qu’elle voit tout notre appart elle nous demande: est ce que vous avez d’autres parties dans votre appartement ? laissant entendre qu’elle est déjà venue dans l’entrée et voudrait entrer venir voir le reste je lui dis brusquement non et qu’elle ne rentrera pas, elle a un sourire terrifiant mon coloc et moi on panique je sais pas comment elle fait mais elle arrive à rentrer comme si elle avait traversé la porte je lui demande comment elle est rentrée elle sourit juste je réussis à la mettre dehors j’essaye de fermer les deux portes mais j’y arrive pas car pour ça il faut qu’elles soient ouvertes un moment et j’ai peur qu’elle re rentre d’un coup, elle est avec un autre garçon avec une casquette et deux autres filles ils sourient tous terrifié je comprends et essaye de me réveiller puis rebelotte paralysie du sommeil je galère grave je me réveille dans l’appartement d'un ami (ça ressemble pas à son appart c’est tout petit) avec 4 autres amis et surement + on danse et tout puis j’essaye de leur raconter mon rêve horrible je me souviens pas de tout mais je me souviens de X qui joue à LOL et ya plus de musique, Y est sur un autre ordi je sais plus comment ça finit mais je finis par refaire une paralysie et essayer de me réveiller cette fois je me retrouve dans ma chambre, avec mes amis mais pas Y cette fois, on est tous assis au bord de mon lit et on rigole, je raconte mon rêve de chez mon ami plus tôt, et d’un coup je vois du sable par terre, celui du premier rêve, et leur demande comment c’est arrivé là ils savent pas et j’ai trop peur, je vais vérifier l’entrée, et je comprends (et espère que je dors encore) et cette fois j’arrive à me réveiller d’un coup de grands yeux ouverts sauf que je me rendors et s’ensuit entre une suite interminable de paralysies du sommeil, dont l’une où l’on part des halles, il y a 5 autres amis toute la team avec qui on a vrmt bu un coup la veille et on marche dans la rue, à un moment tout le monde traverse au mauvais moment et je vois un homme être à deux doigts de se faire renverser mais au lieu de courir sur le trottoir il court dans le sens de la route d’un coup, pendant qu’on att toujours pour traverser mon père est là et il manque de se faire écraser par une ambulance qui fait un créneaux (mais il réussi à s’enlever alors qu’il était à moitié en dessous fin trop bizarre et l’ambulance était absolument gigantesque) je refais une paralysie et me réveille mais sens mon corps qui lutte absolument pour me rendormir et s’ensuit encore une suite interminable de paralysies je finis par me réveiller j’ai trop peur et essaye avec toutes mes forces de me lever me mouiller les cheveux et prendre un café c’est fini mais j’ai peur d’être encore dans un de ces rêves maintenant
Le Hezbollah pour mon anniversaire
Je fête mon anniversaire dans une grande maison avec un grand terrain. Il y a toutes les personnes que je connais, et les gens forment un grand cercle dans le jardin. Mon père semble animer une sorte de cérémonie en mon honneur où il parle de souvenirs. Je suis très émue. Je suis entourée de mes copines dans une petite pièce de la maison. Je fais des allers-retours entre cette pièce et le jardin. Plus tard dans la soirée, ou plutôt le lendemain matin, je regarde par la fenêtre de cette petite pièce et je vois dans le champ de blé un homme allongé sur le ventre avec une arme, qui semble viser la maison. J’ai très peur. J’appelle mon père et je lui dis que l’homme a déposé un colis devant la maison et que je pense que c’est une bombe. Mon père va voir ; la boîte est un gros flycase et, finalement, quand il l’ouvre, il s’agit d’objets non identifiés, alors nous refermons la boîte. L’homme frappe à la porte et entre. C’est un homme du Hezbollah qui vient nous contrôler. Il place ma tête devant une sorte d’écran en triptyque, et plusieurs voyants s’allument progressivement au vert. J’ai passé le test. Je pense que c’est fini, mais il veut contrôler l’identité de tout le monde. Mes amies sont habillées un peu "sexy", alors je leur donne de grands t-shirts pour éviter qu’elles soient embêtées davantage. La fête est gâchée.
mick jagger c’est mon pere diabolique
moi dans une réalité parallèle mick jagger c’est mon pere diabolique je suis dans un jardin j’essaye de dorir mais jsuis tzrrifié je trtoube un chat je dois partir mais je dois aussi redecouvrir l’humanité sur cette nouvelle planete (j'ai gardé les fautes d'orthographe qui pour moi coïncident bien avec l'absurdité du rêve)
Transformation et essayage
Je suis dans mon salon, un verre à la main contenant un liquide vert. Je trouve ça bizarre mais bois quand même. Ça à un goût de limonade pétillante alors qu'on ne voit pas de bulle. Le verre disparait et je commence à me poser des questions. Je fais un test de réalité en me bouchant le nez et je sens l'air qui passe ! J'ai envie d'essayer une transformation en femme. Je me concentre et je sens comme une diminution à mon entrejambe, je tâte et je désormais comme une cavité. Je me dirige dans la salle de bain et me regarde dans le miroir, l'image n'est pas très stable mais je continue d'opérer mes changements. Je mets mes mains sous ma poitrine en tirant plusieurs fois et en modelant comme de la pâte à modeler, ce n'est pas très convaincant. Je réfléchis à une alternative car à ce train-là je n'arriverais à rien. J'ouvre la porte de la salle de bain en pensant à me retrouver en ville et ça fonctionne ! Je marche dans la rue en essayant de repérant des PR (personnage de rêve) femmes. Je finis par suivre une brune en robe noire plutôt pas mal avec des formes généreuses. Elle marche assez lentement comme absorbée par les vitrines des magasins. J'arrive à son niveau et passe à travers elle en incorporant son corps. Au début c'est comme si j'étais un fantôme, je sentais mes membres passer à travers, puis je fini par me combiner à son enveloppe charnelle. Je me stoppe net et me regarde dans la vitrine. Je fais quelques mouvements et vois bien la femme réagir de même. Je rentre dans le magasin qui a l'air d'être un magasin de vêtements. Ça tombe plutôt bien, je me dirige vers les cabines d'essayage, mais une employée m'interpelle et me dit que je n'ai aucun article. Je tends la main et attrape un soutien-gorge rouge par télékinésie. L'employée ne semble pas surprise et finit par me laisser passer. J'entre dans la petite cabine et me regarde dans le miroir, l'image n'est pas tout à fait nette mais je reconnait bien la femme de tout à l'heure. Je pose mes mains et tâte ma poitrine, elle semble plus réaliste que mes essais de tout à l'heure. Je remarque que je n'ai pas la robe noire qu'elle portait initialement, mais un débardeur et une jupe de taille moyenne. Je passe ma main sous la jupe et je ne sens pas de sous-vêtement... J'ai toujours le soutien-gorge dans les mains et me dit que je pourrais essayer de le mettre. J'enlève mon débardeur d'un coup sec, je n'ai également rien en haut... Je continue un peu à jouer avec mes seins, puis j'essaie de mettre le soutien-gorge. Je l'enfile à l'envers puis le tourne en enfilant les bras. Je n'ai au final pas trop de difficulté et la taille du bonnet à l'air de correspondre. Je claque des doigts et fait apparaitre une culotte correspondante en bas. Je suis plutôt satisafait.e et décide de sortir de la cabine sans me soucier des autres. L'employé de tout à l'heure me regarde bizarrement. Je sors du magasin et j'entends les barrières antivol qui sonnent. L'employée sort en criant et je finis par courir puis m'envoler. Dans les airs je finis par ralentir ma course et en stationnaire je me débarrasse des sous-vêtements. Je continue à explorer mon nouveau corps en glissant mes doigts à différents endroits et... réveil.
Grenades de Vache Qui Rit
Je découvre qu’en mettant de la Vache Qui Rit dans de l’aluminium, ça fait des grenades explosives… j’en jette plusieurs… Pourtant il ne faut pas jeter la nourriture et la Vache Qui Rit est emballée dans de l’aluminium de base déjà…
Vengeance
Dans une grande maison, avec E. et des amis, on se fait séquestrer dans le bâtiment, volés. J’ai un peu peur pour mon ordi et je réussis à le cacher. En revenant au premier étage, j’apprends qu’E. a été tuée et scalpée. Je la retrouve non scalpée mais morte et j’imagine violée. Je pleure et pleure aux côtés de ma famille. (Je pleurais dans le rêve d’un rêve où E. était morte aussi). Je deviens un homme noir avec une coupe afro et mange les tueurs. (...) Mes mains sont blessées, ouvertes presque en deux. Quand je mets de l’eau dessus, elle rentre à l’intérieur comme dans un profond lac.
S’envoyer en « l’air »
Je suis au boulot devant mon ordinateur, journée de travail ordinaire, mais je sens que je dois forcer pour arriver à lire ce qu'il y a sur mon écran, j'ai comme un doute et je regarde mes mains. Je vois deux doigts supplémentaires à ma main droite. Je décide de valider en faisant mon test de réalité favori : je me bouche le nez et respire, pas de doute je rêve bien ! Je me lève et me dirige vers E., elle porte un débardeur noir qui met bien valeur sa poitrine. Je tends ma main timidement et sous-pèse un sein puis le deuxième, au vu de sa réaction elle ne semble pas choquée mais reste passive. J'essaie de la manipuler en pensant qu'elle se lève et ça fonctionne. Je replace mes mains sur sa poitrine, exerce une pression et en y pensant mes mains traversent ses vêtements. Je peux désormais sentir la douceur de sa peau et je continue de malaxer non sans plaisir. Les autres collègues n'ont pas l'air de nous calculer et j'essaie un peu de modérer mon excitation pour éviter le réveil. Ellipse Je suis de nouveau devant mon ordinateur, et je calcule de nouveau que je suis en rêve. Je retourne voir E. mais elle n'est plus là. Je me lève et va à la machine à café et l'aperçois de dos. Je m'approche et dans mon élan coquin je recommence à lui tripoter les seins. Toujours pas d'objection de sa part et je fini par lui demander si elle veut aller plus loin. Elle acquiesce en rigolant nerveusement. Je lui ordonne de se déshabiller et fait de même mais je sens que cela va être compliqué. Les couches se vêtements restent ou reviennent. J'essaie de stabiliser le rêve en touchant un mur pour faire une pause. Une idée me vient, pourquoi ne pas faire comme tout à l'heure et faire comme si les vêtements ne sont pas tangibles ? Sans regarder je dirige ma main vers mon entre-jambe et saisis mon membre. En effet c'est comme si je ne portais rien. D'une raideur suffisante, je m'approche de la collègue toujours habillée et me colle à elle. Je sens d'abord comme une résistance du textile, mais en forçant un peu je sens le membre glisser parfaitement. La sensation est proche de la réalité. Je fais des mouvements lents pour éviter toute déstabilisation, c'est très fluide. Des collègues passent à côté de nous et E. semble gênée. On peut faire ça ailleurs si tu veux lui dis-je. J'adore voler en rêve même si c'est un peu compliqué par moment. Étant encore stable, je décide d'attraper ses mains et pense à décoller comme une fusée. On part en lévitation et on traverse le toit. On continue à monter dans les airs et je n'arrive pas trop à m'arrêter. Je fini par basculer sur le dos et Émilie se met à califourchon sur moi. Elle retrouve la route très vite et prend l'initiative sans que je n'ai à la manipuler mentalement. Dans ces conditions ça va être dur de garder une stabilité mais les sensations sont bien là, les va et vient répétés sont plaisant et le fait de voler en même temps est assez inédit pour ma part. La liberté de mouvement dans les air est assez jouissive. Je me sens assez proche du point de rupture et tente une chute libre pour le grand final. Je visualise comme un poids dans mon corps et me sent partir toujours avec ma collègue sur moi. Comme attendu c'est le moment d'extase, d'une puissance indescriptible... et je sens la situation se flouter. Ellipse Je me sens me réveiller dans ma chambre mais la situation change et revient à mon bureau à nouveau. E. est en face de moi et me fait un clin d'œil. Je me dit qu'il faudrait peut-être que je me réveille histoire de noter le rêve afin de ne pas tout oublier mais j'hésite à retenter des choses. Cette fois-ci je ne passe pas par quatre chemins, j'ordonne à ma collègue de venir s'occuper de moi. Elle arrive et je lui propose une glace. Je commence à avoir des sensations mais je finis par me réveiller.
il y a du bruit sur le parquet
tout mes membres sont endormis et mes organes ralentis sauf une petite partie de moi dans mon cerveau j’ai jamais fait un sport pareil, réveiller une jambe c’est quelque chose mais tout un corps c’est pas la même affaire mais j’ai peur c’est urgent il y a du bruit sur le parquet je sais que ces pas qui me paralysent ne sont pas sur ce parquet, celui du monde ou vous etes parce que le bus 2 faisait ce créneau bizarre et impossible dans ces rues biscornues qui rappellent le sud et n’existent pas dans votre Lyon je le sais parce que je me suis posé la question de si j’étais entrain de penser ou rêver dès que j’ai compris que la discussion que j’étais entrain d’avoir, moi assis devant à gauche du bus et lui à un siège d’écart de moi à droite, penchés vers le couloir pour s’entendre dans les oreilles, venait de ma tête et pas du tiroir à souvenirs on a changé d’endroit je suis dans mon lit et je crois être dans ce monde, celui où vous êtes mais il y a du bruit sur le parquet et j’ai peur je sais qu’il n’est pas l’écho de ce monde, celui où vous êtes, parce que mon pied ne ressemble pas à celui de Bob l’Éponge dans celui-là mais je dois vérifier j’ai peur et dois partir j’essaye une fois, impossible de soulever ma tête de l’oreiller qui voudrait m’aspirer sous le matelas la troisième fois j’ai envie d’abandonner mais j’ai peur et ça va empirer septième fois ma tete fait un bon de 2cm qui me paraît d’une ascension gargantuesque est ce que je me suis vraiment gratté tout à l’heure ?
Les 3 Mickael Jackson veulent entrer chez moi
Je suis dans mon salon, j'organise une petite fête. D'un coup, je vois arriver un groupe de trentenaires que je connais pas du tout, je vais vers eux et leur demande qui c'est. Je crois que j'étais déjà un peu de mauvaise humeur et quand j'apprends que je ne les connais ni d'Eve ni d'Adam je les vire pas très gentiment. S'ensuit une centaines de gens que je recale de chez moi, qui veulent s'incruster en faisant le vigile à la porte, sauf un gars à la moustache que je connais pas je sais pas pourquoi je l'accepte j'ai dû bien aimer sa moustache. Le sketch continue pendant que la fête bat son plein moi je reste dans l'entrée, et là 3 Mickael Jackson, un sosie, un ? et le vrai ils sont très grands et veulent rentrer, ils sont accompagner de quelqu'un qui me dit qu'il FAUT qu'ils rentrent. Paniqué, ils me font peur et ont un regard très neutre et supérieur, je dis non! et je ferme la porte sauf qu'elle se déboîte et ils essayent de la retenir. J'arrive quand même à leur fermer la porte au nez et je vais faire une sieste sur un pouf à côté de la porte. D'un coup des ami.e.s qui faisaient parti de ma fête viennent me voir et j'entends au loin demander en criant qui avait caché l'ecstasy. Je me réveille à ce moment je crois ou alors ça dure encore un peu je suis plus sûr
Vagues immenses à Lisbonne
Selon moi je suis à Lisbonne (mais n'étant jamais allé là bas je ne peux pas l'affirmer). Il y a pleins de maisonnettes colorées, avec une vue en contre plongée sur la mer et les vagues. Moi j’étais dans une pièce bleue foncée et vide avec une seule fenêtre. Puis les vagues montaient jusqu’à passer par la fenêtre mais ça ne m’inquiétait pas, l’eau était sombre et le sable aussi. Puis je suis allé sur la plage je sais plus pourquoi. Tout était si agréable...
Visite d’appart en pleine nuit
J'ai RDV pour une visite d'appartement depuis plusieurs mois. Au même moment j'ai aussi RDV avec T. et E. pour un verre. Je leur propose de venir avec moi faire la visite mais me rends compte en chemin que ce n'est pas le bon jour... Tant pis, nous y allons quand même. Je sonne à l'interphone en pleine nuit pour demander si je peux visiter maintenant.
La transe
Je suis à une exposition ou avant une séance d’opéra. On est réunis avec d’autres jeunes gens dans une sorte de salle d’attente. Je suis fatigué et je m’allonge sur une table en position fœtale. Soudain je sens que mon pied tremble et que je peux/vais rentrer en transe. Je transe comme ça sur la table et les personnes autour n’y croient pas où se moque un peu. Ensuite je flirte avec une énorme femme. Un homme me poursuit longuement dans tout le musée, j’ai peur. J’arrive à me retourner pour le planter.
les deux chats
On a mit ma chatte dans une cave pour la garder. En revenant, en ouvrant la cave, on se rend compte qu’il y avait déjà deux chats dont un hyper agressif qui me saute à la jambe. Je dois le tuer en l’étranglant pour qu’il me lache. Il est tout ratatiné mais au moins j’ai sauvé ma chatte.
mon père
David Bowie est mon père et je suis ravi
moi, webcam viewer
Je me suis inscrit sur un site illégal pour visionner les webcams et caméras privées du monde entier. Plus tard, après avoir regardé seulement une vidéo webcam, je reçois un mail commun qui m’est incompréhensible du genre « Triste de cette déconstruction, mais fière d’avoir fait parti du projet. » Lu sur l’ordi de mamie. S’ensuit l’extinction de l’ordi puis du mien, tout est effacé pour les utilisateurs du webcam viewer. Je pleure en pensant à toutes mes photos, mamie me console et se fiche de son ordi. Plus tard je suis dans une salle avec un écran qui diffuse une webcam. J’essaye de trouver un moyen de la filmer, finalement j’arrive à la brancher à une caméra.
le clown qui fait la poule
j’ai fait une paralysie du sommeil, mon sommeil était rythmé par les sons de mon colocataire qui joue sur son ordinateur, ils influaient mon rêve et j’en étais plus ou moins conscient d’un coup j’entends des pas derrière moi et une voix stridante et assez menaçante qui me réveille en criant en imitant la poule, puisque j’étais dans un sommeil très léger et semi conscient je conscientise que c’est sûrement une paralysie du sommeil mais j’ai peur que ca empire, je me force à me réveiller mais c’est super dur j’arrive à me mettre sur le dos vers le son, où l’emplacement est vide j’ai peur de me laisser retomber dans le sommeil, je me lève me faire un café
Dissolution familiale
Je suis en voiture et nous voulons aller dans la vieille ville, personne ne m'aide à trouver et je pleure. Toute ma famille me renie. Ma mère me fait signer des papiers de notre dissolution, pour que je ne sois plus dans la famille. Je suis en pleurs. Ils rient. Je n’ai plus de toit ni de quoi manger et plus de contact avec ma famille. Je pars dans un espèce de festival avec des amis. Une fille me des mains mon parfum et il tombe je crie un peu et elle m’humilie. Tout le monde est contre moi. Elle est riche. Je crois que dans le rêve c'est la maman de P. Elle me dit que j’allais être rien, qu’elle a du pouvoir et elle part dans un truc de danse mystique avec une coiffe de perle. Un ami m'a brûlé aussi. Il y a M. et sa copine (il en avait une dans le rêve). Je suis en pleurs du début à la fin. Pour aller dans le coin yoga, je passe devant un garçon qui interdit à l'entrée le téléphone. Un mec le photographie et le charge avec un mini chargeur bluetooth. Je suis en pleurs et je vois à la télé Kali Uchis qui chante en live "Te Mata". Je regarde comme un enfant abandonné. Et j’entends une fille que je connais, mais je sais plus qui, dire «regarde elle adore, elle connaît par cœur » à la fin kali Uchis dédicace sa performance à « JODO46 ». ´ J’ai des cartons déchets dans mes joggings.
opéré
je me suis fait opérer (comme dans la vraie vie) dans mon rêve; je rencontre qlq avec qui je peux tout faire et ma condition handicapante est plus là je sais plus mais je sais que dans mon reve j’essaye de pas trop faire le fou
La film à l’arrache
Je réalise un long métrage avec ma compagne. On a réunis tous nos amis pour nous aider. On est pas très bien préparé on a pas fait de découpage, de séquencier ou quoi. Ça se passe plutôt bien.
TYROLIENNE NOCTURNE
Dans une ville qui ressemble à un Paris moyenâgeux, je suis poursuivi en pleine nuit par plusieurs hommes. Ils portent une longue robe noire et des cagoules pointues. Ils ressemblent à des membres du KKK, à des Nazeranos ou aux trois petits brigands du comte de Tomi Ungerer. Dans l'élan de la course je tente de me réfugier dans un moulin. Je monte à l'étage mais ils me suivent toujours de près. Je décide alors d'emprunter une tyrolienne qui part de la fenêtre pour arriver à la rue. Sur cette tyrolienne je prends alors beaucoup trop de vitesse. J'ai peur de la réception au sol, j'ai peur de me casser les genoux. Je me réveille.
La définition de l’égoïsme
Il y a la conférence de Tobie Nathan, je suis impatiente et cela fait longtemps que je veux la voir. Je souhaite me mettre tout devant. Le frère d’un mec du collège, qui était déjà assis en première place, a une place libre à sa droite. Je souhaite m'y installée mais il me dit vouloir garder cette place libre car il fait trop chaud. Je pète un plomb. Je le dis à C. (ma voisine d'appartement) et une fille du lycée. Elle me dit "tu vois C. c’est pareil, c’est pour ça qu’elle a pas voulu t’écouter". Je ne sais plus qui est bon ou non. En me réveillant, je me suis dit cette phrase: "En fait l’égoïsme c’est lorsque tu peux engendrer un énorme bonheur pour quelqu’un mais tu décides de ne pas le faire parce que ça te dérangerais une minute."
La patinoire triste
Avant d’aller au spectacle de la patinoire, je veux passer par l’étage. Je me trompe et j’arrive sur la patinoire des enfants. L’homme me reconnaît et me dit en s'énervant que je dois payer quelque chose. Je lui dit que ça fait plus de 4 ans que j’ai arrêté. Il me demande pourquoi et je lui dis : "mes études". Il pense que je suis encore en psychologie et je lui dis avoir changé. Il s’énerve, et me dit que c’est "comme ça aujourd’hui", "qu’on s’amuse". Je m’énerve et lui dit que je préfère ça plutôt que de rester debout à vérifier les passages. Là, sa mère arrive et lui redevient un petit garçon. Ils sont d’origine africaine (je ne me rappelle plus le lieu), le petit me parle et je lui dit qu’il faut jouer. Sa mère me regarde et me dit "pourquoi jouer" tout en pointant son oeil, bleu profond et aveugle. Je lui dis: "parce qu’on rit beaucoup, à en pleurer, quand on joue". Je lui dis que je joue aux cartes. Ils ne sont pas très gais. Nous marchons, la femme jette une affiche au sol, le petit dit qu’il savait, sa maman lui avait dit. Et avec son fils, ils piétinent l’affiche sur laquelle était inscrit un nom, sûrement politique. La femme ne sourit pas.
Rêve lucide dans une ville
Je cours à très grande vitesse dans une hallucination hupnagogique. Je remarque que la ville m'apparait telle qu'elle était dans les années 60. Je parcours la totalité du centre-ville en allant du sud jusqu'au nord. Puis je fais demi-tour et retourne au centre avant de courir jusqu'à l'extrémité ouest. Ensuite je refais demi-tour.... Puis je me téléporte pour courir dans l'avenue d'Italie à Paris (où j'ai habité quelques temps).... Puis je reviens à Maubeuge... puis je me retrouve dans une ville inconnue... Mon entrée en rêve lucide se fait tellement progressivement que je ne remarque aucune transition.. : ... Je rentre dans un grand bâtiment où il semble y avoir une réception. Je monte un grand escalier et arrive sur un palier. Je vois une dame blonde portant une robe bleue à manches très courtes et de grosses boucles d'oreilles en forme de boules argentées. Je trouve qu'elle ressemble très vaguement à J. Probablement que celle-ci à servi de modèle de base pour fabriquer ce personnage. J'ignore totalement si je suis encore dans une HH ou si je suis entré dans un rêve lucide. Si c'est le cas alors peut-être que cette dame est mon guide spirituel ?... mais je raconte des bêtises : Je ne vais tout de même pas encore croire à ces mythes new-âges à mon âge ! Je vais plutôt demander à cette dame si elle ne veut pas me servir de guide pour me faire visiter les lieux... mais je change d'avis et me dis que je serai plus libre en me promenant seul. Alors je repars en courant (dans ce rêve je passe mon temps à courir pour avoir le temps d'en voir le plus possible...)... (... Passage non mémorisé ...) Il me semble que j'ai revu cette femme à la robe bleue une seconde fois un peu plus tard... (... Passage non mémorisé ...) Je rentre dans un grand bâtiment et me trouve devant des hommes en costume. Ceux-ci sont surpris de me voir et semblent me regarder comme un intrus. Je veux leurs demander s'ils connaissent mon vrai nom... Mais je me ravise : Je vois bien qu'ils se demandent qui je suis, ils ne peuvent donc pas connaitre mon vrai nom (De plus ça fait plusieurs mois que j'ai déjà fait la quête de la recherche de mon vrai nom !). Soudain les hommes se précipitent sur moi et je m'enfuis. J'attrape un grand bâton au passage et m'en sers comme d'une perche pour effectuer de grands sauts afin d'aller plus vite. J'arrive sur une terrasse et saute dans le vide. En bas il y a un parking et je rebondis d'un toit de voiture à l'autre, comme si c'était des trampolines, tout en narguant mes poursuivants. Je saute tellement haut que j'attrape brièvement le vertige. En m'aidant de ma perche, j'atterris sur une voiture décapotable dont l'arrière est rempli de livres. J'en saisis un au passage et regarde sa couverture : Il y est écrit "Sidney Bechet" ). Je dis : "Hmm ! Saine lecture !"... Puis je continue de rebondir de voiture en voiture et atterris sur une allée recouverte de petits galets. Je recommence à courir... (... Passage non mémorisé ...) ...Je suis dans une belle demeure et je cesse de courir. Je me dis que je devrais mémoriser tout ce que je viens de faire si je veux pouvoir le décrire dans le forum... Mais j'ai tellement couru que mon cerveau n'a pas eu le temps de tout enregistrer correctement. Tout ce que je peux dire c'est que je viens de visiter trois maisons et que je me trouve maintenant dans une sorte de mairie... ... J'ouvre une porte-fenêtre et me retrouve sur un grand balcon. J'ai envie de sauter dans le vide mais sans voler et sans jouer au passe-muraille, c'est trop commun. Par le jeu de ma volonté, la balustrade se fend en deux parties qui s'écartent alors que je m'avance. En bas une grande foule m'acclame. Ces gens croient peut-être que je suis leur nouveau maire puisque je suis dans une mairie ?... (... Passage non mémorisé ...) ... Je cours dans un grand couloir. Je m'arrète car, à droite, je viens de voir mon reflet. C'est une vitre avec un volet abaissé derrière elle, ce qui l'assombrit. Je regarde comment j'y apparais... Je suis ressemblant bien que plus jeune et avec une grande mèche sur le front. Je m'amuse à déformer mon visage comme s'il était de la pâte à modeler. Je tire sur mon nez et l'allonge. Je remonte un oeil et abaisse l'autre. Puis j'écarte les deux yeux. Ca me fait un visage grotesque ! Je mets alors mes deux mains sur mon visage en souhaitant qu'il redevienne normal. Je remarque que mes mains sont chaudes (alors que IRL elles sont souvent froides)... (... Passage non mémorisé ...) ... Par une porte ouverte je vois un escalier de marbre blanc en colimaçon. Mais il est très étroit (moins de 1;5 mètre de diamètre) et semble descendre à l'infini. Il donne une telle impression de claustrophobie que je n'ose pas l'emprunter... (... Passage non mémorisé ...) ... Je monte un escalier. Sur le palier je vois une femme qui semble attendre en regardant vers la droite d'un air rêveur. Elle est assez petite, d'une beauté moyenne, brune avec des cheveux courts et porte une robe courte de couleur crême avec des manches très courtes. Le tissus semble très fin. Cette femme me fait penser à mon amie C. mais en plus jeune. Je la prends contre moi et lui caresse ses bras nus. Ils sont doux comme la peau d'un bébé. Puis je plonge ma main dans son corsage. Elle rigole... Soudain la scène change. Je suis assis dans un canapé avec cette femme et ma mère et nous prenons le thé. Je comprends alors qu'elle est bien C. redevenue jeune. Je remarque que ma braguette est ouverte et qu'on voit tout... mais ce n'est pas grave car on est dans un rêve... Soudain la scène change à nouveau. Je suis à présent dans une pièce avec une quarantaine d'autres personnes. Elles sont toutes de ma famille (surtout du côté paternel semble-t-il). C'est donc une réunion familiale. Mais je suis conscient que pratiquement toutes ces personnes sont décédées IRL... je crois donc me trouver dans le monde des morts. Je vois ma grand' mère S... et je prends conscience que tout le monde ici est vieux. J'avais pourtant lu que les morts aimaient reprendre la forme qu'ils avaient dans leur jeunesse. D'ailleurs je me souviens que mon père disait souvent que, dans sa tête, il se voyait toujours comme lors de sa jeunesse. Et moi-même j'ai souvent tendance à me voir comme quand j'avais environ 15-20 ans. Les morts devraient donc se matérialiser ainsi, jeunes comme ils s'imaginent. Je prends la parole et leurs dis : "Pourquoi ne prenez-vous pas un aspect jeune ? Vous le pouvez puisque nous sommes dans le monde ..." J'allais dire "...dans le monde des morts" mais je me souviens que nous ne sommes que dans un rêve. Alors je dis "... dans le monde psychique". Rien ne semble changer... Mais je remarque que, peu à peu, tout le monde se met à rajeunir lentement. Et je me retrouve entouré d'ados et d'enfants. Je vois ma cousine C. telle qu'elle était vers l'âge de 12-15 ans. A sa gauche je vois une jeune femme qui doit être sa mère, ma tante C. jeune. J'entends la voix de ma mère, sans la voir. Elle dit que je suis drôle car elle me voit redevenu un bébé. Pourtant je ne me vois pas comme un bébé. Je remarque un jeune garçon avec des sourcils épais et une grosse voix. Je ne le reconnais pas. Il avance en disant bonjour à tout le monde et en appelant chacun par son prénom. Je ne sais pas comment il fait pour les reconnaitre car moi je ne reconnais presque personne : Ils ont tous trop changé. Il arrive devant moi : Pour rire je lui donne un nom fictif. Je lui dis : "salut Marcel ! Tu ne me reconnais pas ? Je suis L. !" Et je me réveille.
parking arrière du carrefour
J'apprenais à ma famille à voler en sortant par la porte du parking arrière du carrefour de chez eux. On voulait toujours plus. On était une famille un peu beaucoup crazy. Ca se terminait mal.
2000 euros sur soi
Avec K., dans une galerie d’art. Il y a un carton un peu abandonné dans l’entrée, contenant des sacs plastiques renfermant des vêtements. On en pique pas mal et on court dans la rue, on dévalent les pentes de villes exagérément pentues. On ouvre les sacs et on découvre des maillots de foot. Moi un deux Nike noir je crois, et pour K. un maillot de foot Chanel et une casquette. Il dit "j’ai 2000 euros sur moi". Je suis un peu jaloux mais ça va. (Dégouté le matin que ça ne soit qu’un rêve).