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Ce catalogue, non exhaustif, permet d’être renseigné sur l’expérience subjective du rêve, en catégorisant son récit en fonction d’une classification précise mais nuancée.
Toutes ces informations permettent, tout en individualisant chaque archireveur·euse, de comprendre un instant de notre histoire commune et d’y voir l’altérité de nos alter ego.
En répondant à ces questionnaires, vous permettez d’enrichir les possibilités de la recherche onirique tout en conservant votre anonymat d’archireveur·euse.
Les axes de recherche majeurs de la science du rêve portent sur les échos entre les intérêts de l’individu dans l’éveil et sa production onirique ; ainsi la majorité des questions cherchent à mieux cerner la personnalité de l’archireveur·euse éveillé·e et ses conditions de vie quotidienne.
Certaines questions et catégories proviennent du site et d’enquêtes de l’Insee, de discussions avec des chercheuses, chercheurs, de textes universitaires ou d'articles journalistiques.
D’autres questions se nourrissent d’intuitions plus libres exprimant l’envie de découvrir de nouvelles corrélations statistiques.
Géré par un groupe bénévole – de non-professionnels, d’amis·e·s –, archireve.fr tente d’allier rigueur scientifique et ludisme amateur. archireve.fr n’aspire pas à présenter une cartographie parfaite des rêves francophones, ni à dresser un classement rigoriste d’archives, mais tente, pas à pas, d’aider l’humain d’aujourd’hui à se rêver éveillé.
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FILTRES
Niveau de lucidité i
Typologie de rêve i
Période
SUPPRIMER LES FILTRES
Niveau de lucidité
Nous ignorons la plupart du temps que nous sommes en train de rêver, tout nous paraît clair, normal. Même si le monde va à l’envers, nous avons comme l’impression de l’avoir toujours connu tel quel, ou du moins nous ne nous interrogeons pas sur son manque de cohérence.
Mais il arrive que certaines zones du cerveau s’illuminent et rendent à l’archireveur·euse les fonctions de la « pleine conscience ».
Il y a parfois un gouffre qui sépare la prise de conscience et son absence, mais toute la gamme des lucidités, qui s’échelonne entre ces états, dépasse souvent ses marges et est à considérer avec nuance, tant ses frontières peuvent êtres floues.
Et plus on écrit ses nuits, plus on en parle et fait des tentatives, plus on peut espérer atteindre l’état lucide du rêve.
J’ai l’impression de sortir de mon corps et d’observer l’environnement depuis une position distincte de ce dernier.
Je crois m’être réveillé pour de bon alors que seul un changement de décor onirique a eu lieu.
Je rêve que je suis lucide. Par exemple, je m’endors à l’intérieur de mon rêve et je rêve que je suis en train de faire un rêve de lucidité tacite. Je peux être pleinement lucide dans ce second rêve mais je garde une fausse mémoire de mon rêve non lucide. Je crois que les circonstances réelles de mon sommeil étaient celles de mon premier rêve.
Je sais que je rêve, je dispose de mon libre arbitre et d’une faculté normale de raisonnement. Je dispose d’importantes capacités, d’un bon accès à ma mémoire d’éveillé et je n’ai pas de fausses croyances.
Je me crois dans un autre monde, j’agis avec des capacités surnaturelles comme en rêve lucide. Cependant je ne réalise pas que je rêve, je pense être encore dans la vie diurne.
Je ne remarque rien d’anormal, je pense être totalement conscient, comme dans la vie diurne.
Je suis tout à fait conscient, mais je ne peux pas effectuer le moindre mouvement ; je peux ressentir des impressions d’oppression, de suffocation, de présence maléfique et de mort imminente, mais aussi des hallucinations auditives, sensitives ou visuelles, avec le plus souvent un sentiment d’anxiété et de frayeur.
Je sais que j’étais en train de rêver mais je ne réalise pas que je rêve à présent. Ce peut être suite à un faux éveil. Je parle de lucidité, je raconte le rêve que j’ai fait précédemment, je note mon précédent rêve, par exemple, dans mon propre rêve.
J’émets un doute sur la réalité de l’environnement sans pour autant pleinement réaliser que je rêve.
Je me retrouve entre deux rêves. Je suis conscient de dormir. Je peux avoir la sensation de mon corps endormi, mon esprit est actif mais je ne rêve pas. Cet état peut se rencontrer pendant une paralysie du sommeil.
Je suis à deux doigts de toucher la lucidité mais mes possibilités sont réduites. Je dispose de faibles capacités cognitives, je n’ai presque pas accès à ma mémoire éveillée et j’ai de fausses croyances, je suis trop excité. Je perds rapidement ma lucidité.
Un endormissement très bref qui ne laisse en mémoire qu’une scène fugace, un flash, presque une hallucination.
Typologie de rêve
Les frontières n’existent pas dans le sommeil mais, afin de mieux comprendre les rêves, de les discerner et d’en percevoir toute la gamme, tentons de définir de quelles essences ils sont faits, de quelles espèces ils proviennent.
Ce catalogue, non exhaustif, permet d’être renseigné sur l’expérience subjective du rêve en catégorisant son récit en fonction d’une classification précise mais nuancée.
Mon rêve semble se calquer sur la réalité.
Mon rêve me provoque une forte émotion négative, comme de la peur ou de l’horreur, mais également du désespoir, de l’anxiété ou une grande tristesse.
Mon rêve me paraît ordinaire, sans typologie ou force particulière.
Mon rêve coïncide avec mon environnement au moment de la phase de sommeil.
Mon rêve m’apporte quelque chose de nouveau, comme l’idée d’une œuvre artistique, l’invention d’un nouveau concept ou bien une réponse à un questionnement.
Mon rêve n’a pas forcément de lien avec ma vie privée et m’annonce un événement futur pouvant se réaliser.
Mon rêve s’apparente à d’autres, plus ou moins similaires, qui apparaissent plus ou moins fréquemment.
Mon rêve est érotique. Je peux avoir un orgasme ou ressentir du plaisir.
LES RÊVES
Rêve lucide avec un pacte avec une succube
J'assiste à l'enregistrement d'une émission de télévision dans un studio. C'est une sorte de jeu et la présentatrice est très belle. Elle est mince, a de très longs cheveux noirs et porte une robe de soirée rouge sans manches fendue sur le côté, très sexy. Mais je dois quitter le plateau de tournage pour retourner dans ma chambre d'hôtel, je ne sais plus pourquoi. (...Ellipse...) Je monte l'escalier de l'hôtel, tourne à gauche et arrive dans le couloir. Je reconnais les portes des chambres car elles sont toutes différentes : Je suis bien au bon étage. Je parcours toute la longueur du couloir sans trouver la porte de ma chambre. Bizarre. Je refais le parcours dans l'autre sens... et je ne vois toujours pas la bonne porte. Très bizarre. Je refais plusieurs aller-retours sans la retrouver. C'est comme si elle avait disparu. Je reconnais là un bug classique qu'on trouve dans les rêves... et je deviens lucide. Mais je veux être plus fort que le rêve et cherche absolument à retrouver ma chambre. Je me concentre sur ce désir de trouver cette porte qui a disparu. Je reviens au début du couloir, prés de l'escalier. Au lieu d'aller à gauche, je vais à droite. Sait-on jamais : Le rêve s'est peut-être amusé à inverser la gauche et la droite ? Je me retrouve devant une porte fermée à clef. Pas de problème : Je passe à travers sans difficultés... et je me retrouve devant une autre porte exactement semblable. Ha, d'accord, je vois que le rêve veut jouer au jeu des portes infinies. On va bien voir lequel de nous deux se lassera la premier. Je traverse la porte et me retrouve devant une autre... et je continue en traversant ainsi une disaine de portes. Je me retrouve finalement devant une porte en métal. Et je n'arrive pas à la traverser. Je pousse, je pousse mais elle est dure comme du vrai métal. Mais elle plie sous mes poussées comme si elle était très fine. Je me rue alors dessus et la défonce d'un coup sec. Derrière il y a une petite pièce aux murs de briques. A gauche je vois un escalier métallique en spirale qui semble descendre à l'infini et se perdre dans les ténèbres. Je dis : "Hmmm. Ca doit conduire dans un endroit très excitant !". J'ai envie de descendre pour voir quel lieu fantastique m'a préparé le rêve... Mais j'ai peur également qu'il me conduise dans un horrible cauchemar. Je me souviens en effet d'avoir lu que manger trop de chocolat peut donner des cauchemars. Et je me souviens que j'avais décidé de retrouver la porte de ma chambre alors je fais demi-tour... Et je me retrouve face à face avec la présentatrice de TV. Celle-ci me dit que je n'avais pas le droit de quitter le plateau en plein milieu du tournage et que je dois reprendre immédiatement ma place dans le public. Je refuse en disant que je veux d'abord retrouver ma chambre. Elle insiste. Je lui explique que sa beauté m'a tellement troublé que je me sens faible et que je dois aller me reposer dans mon lit. Mais elle insiste encore. Alors je lui dis que je la suivrai si elle accepte de me donner un baiser. Elle accepte. Je la prends donc dans mes bras et l'embrasse. Hmmm. Ce n'est pas désagréable mais je trouve que son corps est dur et rigide. Et sa beauté me trouble tellement que je perd ma lucidité. Elle me demande ensuite de la suivre... mais on doit d'abord passer au restaurant pour prendre son mari avec nous. Son mari ? Elle est donc mariée ? Je suis déçu car j'aurais aimé continuer à la draguer. (... Ellipse...) Je suis au restaurant et je discute avec son mari, un homme blond très sympathique. Je lui demande depuis combien de temps ils sont mariés et il me répond : "Une semaine !". Il m'explique alors que c'est un mariage très spécial, une sorte de pacte avec le diable car cette femme est, en fait, une succube. Apprendre ça me fait redevenir lucide pendant quelques secondes. Il me semblait bien avoir déjà vu cette femme quelque part. Je comprends que c'est la succube que j'ai déjà rencontrée plusieurs fois dans des rêves lucides. Mais ici elle semble un peu plus petite. Elle ressemble un peu à mon ancienne dermatologue. Mais le mari continue à parler, je l'écoute et reperd ma lucidité. Il m'explique que, en payant 500E, on peut être marié avec elle pendant une semaine. Mais, une fois cette période écoulée, le mari doit trouver un nouvel homme pour le remplacer. Je dis que ça m'intéresse et j'ouvre mon portefeuille. L'homme dit : "Bon, alors allons-y... Monsieur, acceptez-vous pour épouse..." Je crie : "J'accepte !" et je pose une liasse de billets sur la table. Ceux-ci disparaissent aussitôt et l'homme m'annonce : " Voilà, il ne vous reste plus qu'à payer les 250E restants et elle est à vous !". Quoi ? je dois encore payer 250E ? j'avais mal compté ou on essaie de me rouler ? Ou alors j'ai mal compris ce pacte. Peut-être que chaque mari doit payer 250E de plus que le précédent ? Et, finalement, qui empoche l'argent ? Le diable ?
Le bâtiment de Palestine
Je traverse un mur géant et ça y est, je suis en Palestine illégalement. J'ai l'impression d'être dans une sorte de prison à ciel ouvert. C'est magnifique, de grands et vieux bâtiments fait de pierres. Il y a de petits marchés mais peu de monde dans les rues. Tout est enfoncé dans des dunes, du sables. J'entre dans une sorte de Parthénon et c'est grandiose, d'une beauté antique, incroyable.
La pieuvre
j’ai rêvé que je cherchais des coquillages sur la plage pour les poser sur des plaques dans le jardin de ma tante L. afin que cela débloque un mécanisme secret. Sur la plage j’ai rencontré J. (qui venait de mourir dans la vraie vie) qui jouait avec une pieuvre en main, il était très joyeux, je suis resté avec lui car je savais qu’il allait mourir.
L’hypocrite et la radiesthésie
Avec une famille qui n'est pas la mienne, je montre les baguettes de sourcier et je sentais que j’avais beaucoup d’énergie en moi alors, pour leur prouver je m’empare d’un énorme pendule, disproportionné. Ça fonctionne tellement que je suis moi-même choquée. Je commence à poser des questions intenses comme « qui est l’hypocrite dans la salle? » et le pendule pointe à la perpendiculaire sur la maman de la petite fille. Pendant un concert de Cocorosie mes écouteurs filaires m’électrocutent et Sierra m’aide à l’enlever mais d’électricité aussi. Il y a des casques et on peut les écouter dedans. Je suis très proche d’elles.
Le cadeau
J'était en voiture avec mon père, on se rendait à l'anniversaire de mon frère. On discutait du cadeau que j'allais offrir à ma mère quand je me rend compte que je n'ai pas de cadeau pour mon frère. Ça ma rendu très triste. On se gare sur un parking avec d'autres voiture. On sort et là je vois ma cousine qui était grave plus jeune et je vois mon autre cousine, pareil, elle avait 10 ans de moins. J'étais choquée et je rend petit à petit compte que tout le monde à 10 ans de moins sauf moi. Ça n'a l'air d'étonner personne.
Rêve lucide en marchant sur un mur comme une mouche
Je suis dans le couloir du lycée avec un copain. Il me raconte qu'il a rêvé de son maître d'arts martiaux qui est également son maître spirituel (Je vois son visage : C'est un chinois chauve portant de longues moustaches très fines). Mais dans son rêve celui-ci était devenu mauvais et machiavélique. Ensuite dans la journée, quand il a revu son maître, celui-ci n'était plus souriant comme d'habitude mais il était devenu mauvais comme dans le rêve. Je lui dis qu'il est probable que son mauvais maître du rêve a utilisé ses pouvoirs pour se téléporter dans le monde réel. Il va probablement vouloir prendre la place du bon maître et étendre son influence dans notre monde. En effet : Je pense que les rêves sont en fait des univers parallèles, des réalités alternatives... (... Ellipse ou scène oubliée ...) Je sors du lycée et constate qu'il est déjà 18H10. je cours pour ne pas rater mon bus... (scène récurrente)... (... Ellipse ...) Je cours dans les escaliers pour aller à mon cours de danse. J'entre dans la salle... et me rends compte que je ne reconnais aucun des élèves présents. Bon sang ! Je me suis trompé de salle ! La bonne salle doit se trouver à l'étage du dessus ! Je me sens bête ! Mais je vois que personne n'a remarqué ma présence. Je comprends que je suis donc invisible, tant mieux. Je décide d'en profiter pour aller visiter les autres salles. Je pénètre dans une autre pièce... Ce n'est pas une salle de danse mais une salle de réunion où des hommes politiques sont en train de discuter autour d'une table. Une seule femme se trouve parmi eux. Comme je vois que je suis toujours invisible, je les écoute pour voir si je vais entendre quelques secrets inavouables. Mais je n'ai pas la patience de les écouter très longtemps et je vais visiter la pièce du fond. Elle est vide... Je me demande pourquoi je suis invisible... ... Soudain je comprends que je suis dans un rêve et je deviens lucide. Je dois vite en profiter et je me demande quelle quête d'Iktomi je pourrais tenter. Je réfléchis, réfléchis, réfléchis... mais je n'arrive à me souvenir d'aucune des quêtes que je voulais essayer. Ma difficulté à ramener des souvenirs du monde réel me fait exactement la même impression que quand j'ai du mal à ramener des souvenirs de rêves alors que je suis réveillé. La mémoire circule donc de la même façon du monde réel au monde onirique que du monde onirique au monde réel. Je frotte mes mains contre le mur pour stabiliser le rêve. Je constate que les murs sont recouverts de tissus gris-bleu assez rugueux. J'ai connu deux chats qui s'amusaient à grimper verticalement sur de tels murs recouverts de tissus épais, alors je décide d'essayer de faire comme eux. Je plante mes ongles et essaie de grimper... mais je déchire le tissus. Je donne de grands coups d'ongles dans le mur et en arrache des morceaux et forme de grands trous. Les murs oniriques ce n'est pas solide ! Je décide d'essayer de marcher sur le mur comme une mouche. Je pose donc un pieds sur le mur... puis le 2ème (Je remarque qu'ils sont nus). Je ne sais pas si mon dos repose sur le sol ou s'il flotte dans l'air. J'essaie de marcher... mais j'ai énormément de mal à avancer. J'essaie de me convaincre que c'est facile... mais pas moyen : Mon esprit est persuadé que c'est impossible et je n'arrive donc pas à marcher jusqu'au plafond. Une femme aux cheveux blonds-roux arrive derrière moi et m'encourage à essayer encore (je ne suis donc plus invisible). J'essaie donc à nouveau... mais c'est dur. Soudain j'arrive plus facilement à avancer... Mais ce n'est pas étonnant : C'est la femme qui me pousse dans le dos pour m'aider. Soudain j'entends des voix qui m'appellent. Ce sont mes copains du lycée... ... Et je me "réveille". Je suis donc dans une sorte de faux réveil. Ca ne m'étonne pas de me trouver debout avec mes copains en plein milieu du campus. Je les suis, peut-être pour aller en cours. je dis à l'un d'eux : "Tu sais, j'ai eu un rêve lucide tout à l'heure !"... mais il s'en fiche totalement. Je me rends compte que mon rêve lucide n'est pas terminé : Il continue de se dérouler dans ma tête. Lorsque je ferme les yeux, en effet, je vois toujours la pièce aux murs recouverts de tissus. Je me trouve donc dans deux mondes à la fois. Mais c'est trop compliqué à gérer alors je préfère "éteindre" mon rêve lucide. Je me souviens alors du début du rêve : l'histoire du mauvais maître chinois. Mais c'est un rêve trop compliqué pour que je prenne la peine d'essayer de l'expliquer à mes copains. Surtout qu'ils s'en foutent.
Prothèse de cyborg
Je regarde les stories Insta de A. sur mon téléphone. Il est à Los Angeles en short et t-shirt. Il s'étire et je remarque que le haut de ses cuisses marque le début d'une prothèse métallique qui remonte jusqu'à ses hanches. Comme si il avait été coupé en deux ! J'appelle N. pour lui demander si il était déjà au courant...
Femmes chanteuses
Contexte : deux femmes appelées Azizam avaient participé à un concours lors duquel elles ont reçues des critiques/ conseils dont l’une ne parlait pas assez fort et j’ai rêvé qu’elles rejouaient un concert et que la chanteuse parlait super fort et tout le monde avait mal aux oreilles
Rêve lucide, animaux et actrice
... Au bout de je ne sais pas combien de temps, je me retrouve à côté de ma maison et je sais que ce que je vois est un rêve. Mais pour moi cette lucidité est normale, parfaitement banale; comme si je regardais une simple rêverie diurne. J'essaie toutefois de mémoriser tout le scénario de ce rêve pour l'écrire ensuite dans le forum. Mais je me rends compte que j'ai du mal à me souvenir de son début. Je sais qu'il se passait derrière ma maison. J'y avais installé une sorte d'enclos pour y placer deux créatures fantastiques et je m'amusais à les regarder jouer ensembles. Mais je n'arrive plus à me souvenir de ce qu'étaient ces deux animaux. Je veux aller derrière chez moi pour les regarder... mais je n'arrive pas à retrouver leur enclos. Ma maison a changé de forme et la topographie des lieux est complètement différente d'IRL. Tant pis, je vais procéder autrement : J'essaie de remonter le rêve à l'envers comme si c'était une vidéo pour en revoir le début... Je revois donc l'enclos... mais les deux créatures ne sont que des formes floues. Je sais seulement que ce sont des animaux rigolos de la taille d'un homme mais je n'arrive pas à discerner leur forme exacte. Je sais que ce sont des animaux sauteurs... comme des kangourous... mais ils ont un long cou... comme des autruches. Pas moyen d'en savoir plus. Et que s'est-il passé après ?... Je me souviens qu'ensuite était arrivé un tyrannosaure. Ho oui, je veux revoir la scène de l'arrivée du tyrannosaure !... Mais je n'ai pas de chance : Je n'aurai pas le temps de la revoir car je sens que ce rêve touche à sa fin. J'ai l'impression de partir en arrière et de m'éloigner à grande vitesse de ce rêve pour m'enfoncer dans le noir..... Je me retrouve dans le noir, apparemment en sommeil lent. Je suis encore un peu lucide et je réfléchis à un scénario pour mon prochain rêve. J'y mettrai bien l'actrice Claure Chuste (encore !) car elle est très mignonne. Et la voilà qui apparait à ma droite. J'invente une histoire : Elle est ma petite amie mais elle vient de me dire qu'elle veut rompre car elle a rencontré un autre homme. Je joue la scène avec elle... Je me jette à ses genoux en la suppliant de ne pas me quitter. Je me demande si je dois aussi pleurer... mais ça ne ferait pas très viril; je ne suis pas certain que ça jouerait en ma faveur... Non, ce scénario ne me plait pas. Je vais en essayer un autre... Claire est la petite amie de mon meilleur pote mais moi je suis amoureux d'elle. Je joue la scène : Je lui dis que ça m'emmerde qu'elle soit avec mon pote car j'aie envie de la draguer, mais ça ne se fait pas de voler la copine de son meilleur ami. Mais si un jour ils se séparaient, je lui demande de penser à moi. Je me pose cependant une question : Serais-je assez bien pour lui plaire si ça arrivait ? R4 : Je crois me réveiller. Je suis donc maintenant dans un faux réveil. Je suis content car, dans mon dernier rêve, Claire Chust m'a donné les numéros du prochain loto. je vais donc les jouer pour moi. Et puis je vais les jouer aussi pour Johanne... et puis peut-être aussi pour mon ex', comme ça elle ne me demandera plus d'argent à prêter. Je verrai aussi si je peux utiliser mes rêves pour gagner à d'autres jeux. Mais il me faudra faire attention : Si je gagne trop souvent, les autorités vont croire qu'il y a de la tricherie derrière tout ça...
La transe
(Avant de m’endormir j’ai comme des secousses dans mon corps, des bruits qui sortent de ma bouche : réminiscence d’anciennes transes auto induites) Je suis avec mon cousin C. et mon oncle P. je rentre en transe en faisant trembler mon corps. Je dis des mots incompréhensibles pour maintenir la transe. Je suis allongé mais j’arrive aussi à me tenir debout. C’est très intense et je ressens comme d’habitude des picotements dans les mains. J’envoie comme des ondes d’énergie avec mes mains vers mon cousin, ce qui le fait légèrement reculer. On est tous impressionnés. J’effectue ces gestes aussi sur des ballons et ça se voit encore plus. Je sens ma mâchoire contractée (même hors du rêve). J’essaye de m’arrêter de transer et leur explique que je peux aussi parler avec les animaux et soigner. Je suis étonné que mon oncle soit aussi réceptif. (Je me réveille et je sens comme si les effets de la transe avaient aussi été perçus hors de mon rêve. )
Trop tard
Je suis à la ferme de mon oncle, mais c’est comme si c’était la mère de P(une amie) qui l’a possédait et elle me dit qu’elle va sortir et que si moi je pars je dois bien la fermer à double tour deux des portes car il y a des objets qui pourraient être volés, je ne me souviens pas spécifiquement desquels . J’ai une BMW et je sors avec. Je dois la garer. Je suis vers la rue de l’école de musique de ma ville natale.Sur le chemin. Je vois deux vieilles femmes qui sont tombées dans un trou de chantier. Elles ont les mains pleines de sang. Je leur demande si ça va elles disent que oui pas de problème. Il y en a une troisième qui apparaît, puis elle tend son bras et il commence à être tout retourné et j’écris à chatGPT pour lui demander ce qu’il faut faire en cas de bras désaxé. Mais je réalise que je suis sorti sans fermer les portes de la ferme. Du coup je peux pas aider cette dame et je dois partir et dans le même temps je vois l’heure il est 20 heures passée et je devais faire un cours de guitare avec mon ami et professeur (qui est décédé en réalité) et c’était le dernier, et comme j’ai passé l’heure, je me dis que je pourrai plus jamais le voir parce qu’il va mourir et c’était le dernier cours, que j’aurais pu faire avec lui, et pouvoir lui dire au revoir.
La flûte de flûte
Je suis à Lyon, il y a un festival. Je découvre à côté de mon piano un instrument à vent. C’est comme un saxophone où il y a des flûtes accrochées partout. J’en joue bien comme du jazz. Puis D., un ami de mon frère, avec sa copine me dit qu’il a mon blouson. Sa copine avec qui je m’entend bien, me dit qu’elle le pose à côté de la fontaine. J’étais en retard au festival et ne voit pas mon blouson. Elle me le retrouve après je crois. L’instrument est incroyable et très difficile à jouer mais je l’adore. Je dis que je n’aime pas les instrument à vent mais ça m’intrigue tellement.
Test homosexuel
Je ne sais plus comment mais je me rends compte que je rêve - cela s'apparente plutôt à "des pleins pouvoirs" qu'à un réel rêve lucide : j'arrive à trouer des murs mais pas à faire apparaitre de l'argent par exemple, j'ai du mal à me concentrer. En me rappelant un rêve que j'ai lu sur archireve.fr, j'essaye de tester des pratiques sexuelles homosexuelles. Ça ne me plait pas du tout.
Lingots d or
J ´avais en ma possession une quantité énorme de gros lingots d’or.
vol en entreprise
J'ai rêvé qu'avec trois amis on était dans une énorme entreprise et on s'était décidé à voler quelques trucs.
Trans*lucide
Je me balade avec des amies, on est d'abord en pleine campagne là où on était à nos dernières vacances puis transition en plein centre-ville, en marchant je remarque que mes chaussures ont changées, j'avais des baskets auparavant et là je suis en bottines. Je regarde mes mains et je compte six doigts sur la main gauche, chouette un rêve lucide ! Mes amies se demandent pourquoi je m'arrête, je fini par embrasser E. pour tester et le feeling est assez proche de la réalité, L. a l'air jalouse et veux aussi son moment mais je la repousse de la main. Le rêve a amplifié la violence du geste car elle est propulsée à quelques mètres 😅. Je vais la voir couchée par terre et me fait la remarque qu'elle a une poitrine plus grosse que dans la réalité. Je palpe sans scrupule L. qui a l'air encore dans les vapes et je me dit que je pourrais essayer une augmentation mammaire. Je prends une grande inspiration en essayant de ressentir l'air puis expire en relâchant la poitrine et en me focalisant dessus. Je sens en effet comme une augmentation, je continue progressivement et soupèse le tout, je crois avoir gagné quelques tailles. Je passe devant un cinéma et m'aperçoit dans le reflet, j'ai bien une silhouette différente et je remarque que mes vêtements ont encore changés, je porte maintenant une robe échancrée et je n'ai plus mon soutif... Je sautille comme une gamine et je sens bien l'ensemble rebondir (oui j'assume totalement). ***Oubli*** Je me retrouve en boite et L. et E. ne sont plus là. Je croise quelques hommes très à mon goût et je sens que mon inconscient veux me titiller. Tout le monde danse « collé serré » et je peux même sentir quelques « excroissances » de certains mâles en chaleur autour de moi. Je fini par céder aux pulsions de mon esprit tout en essayant de garder un certain contrôle. J'attrape le premier mec et le tire en direction d'un coin tranquille. Je fais ma brutasse et arrache sa chemise, le rêve amplifie encore mes gestes et j'adore cette sensation de pouvoir. Je fais de même en tirant de part et d'autre de son jeans et il se déchire laissant l'homme en sous-vêtement. Je fini par le pousser et le mettre au sol comme mon amie. Dans un dernier élan bestial je tire sur son caleçon et il finit par être nu (et bien pourvu). Comme le rêve tourne toujours à mon avantage, en plus de ne plus avoir de soutif, je ne sens plus de culotte également. Je « m'assoie » sur l'homme et trouve ma place aussitôt. Je m'agite, remue dans tous les sens et la sensation de chaleur m'envahit. Le partenaire est plutôt passif mais toujours « ferme ». Je me retire et décide d'examiner l'anatomie du monsieur. Son extrémité frétille et je m'interroge sur la particularité masculine. Je l'attrape en main et dans la continuité de mon aventure je l'arrache d'un coup sec. Pas de cri de douleur ni de sang, mais à la place sur l'homme une peau presque lisse et quelques poils clairsemés. Je tiens désormais non pas un jouet mais un organe dont je sens les battements comme si le sang affluait encore. Forcément j'examine, étudie l'engin dans tous les sens comme une gosse. La texture, les plis, tout est réaliste. L'homme est interloqué alors que je lui ai volé une partie de lui. Et puis me vient une idée, pas celle auquel on pourrait penser forcément. Je relève ma robe et place l'engin comme pour l'intégrer à mon corps. Je ressens la peau qui se « soude » à la mienne, je ne sais pas si cela comprends les terminaisons nerveuses mais je me concentre pour intégrer cette nouvelle partie de moi. Je ne sais pas si c'est un bug du rêve mais la peau du dessus s'étire et se relâche toute seule comme si quelqu'un le manipulait, de plus l'homme émasculé semble avoir disparu. Une fois bien collé, je l'attrape et oh magie je sens bien ma main autour. Cela suffit pour m'exciter et me faire perdre la stabilité. ***Oubli*** Je suis toujours en boite de nuit en train de danser et mes amies sont de nouveau là. L. à l'air de m'en vouloir pour tout à l'heure alors que je continuer de danser. J'ai envie de la choquer avec mon attribut. Je lève devant elle ma robe en criant « tada ! » Elle me réponds « ahaha très drôle la blague ». Mais bon la « blague » va aller plus loin. Pour aller jusqu'au bout de mes essais je tire aussi sur ses fringues, sa jupe descends et le reste idem. L. se retrouve dénudée au milieu de la piste mais ça ne choque personne. Je l'emmène plus loin et la situation change encore, je trouve un lit et on s'installe dessus. Je ne sais pas si les sensations sont comme ça pour la nature opposée mais tout s'imbrique bien et la sensation de chaleur est de nouveau là. Néanmoins, tout ne tiens pas très bien comme si cela se décrochait. Je ne vais pas « jusqu'au bout » au sens masculin du terme. L. semble gênée et s'énerve. Je me retire, ôte l'appendice et en fait cadeau à L. pour l'embêter jusqu'au bout (je lui fait l'opération chirurgicale). Je rigole bien devant L. qui tente avec du mal de s'en débarrasser en tirant dessus. Je veux échanger les rôles mais je suis tirée du lit par mon téléphone qui vibre.
la petite danse
J'ai rêvé que j'étais un petit bonhomme aux alentours de 1800 en France. Dans une cour d'un château je devenais grand par mon envie de battre les autres : j'appris le jeu de carte. Une grande et âgée danseuse de faubourg représentait devant un petit comité et me prit par la main pour que je danse avec elle. Je ne savais pas danser j'étais raide ce fut une catastrophe. Elle me dit en dansant que si j'avais ruinée son spectacle elle me tuerai. Je vis sa tête complètement grisé par le maquillage. Je la trouvais belle, elle était horrible. Finalement elle eu une bonne note je fis les hommage et je voulais apprendre la danse. J'étais énervé je cassais un outil de sport en bois.
Le petit téléphone
J'ai rêvé que j'avais volé dans une grande entreprise un petit portable à la valeur de mille euros. Hyper beau les gens le voulaient dans la rue.
Horreur et labyrinthe dans le métro en pleins JO
En attendant un métro avec J., je remarque un père et son enfant qui s'amusent à faire du Judo sur le quai. J'ai un très mauvais pressentiment et pour cause, quelques secondes plus tard, l'enfant tombe entre le quai et le métro qui roule à pleine vitesse. Mon premier réflexe est de masquer les yeux de J. qui n'avait rien vu jusqu'ici. Je ne voulais pas qu'elle soit choquée à la vue de cette scène horrible. Je lui dis alors de courir avec moi pour partir mais nous nous perdons l'un et l'autre dans les dédales du métro. Il y a beaucoup de monde car nous sommes en pleine période des JO. Je la cherche désespérément sans la trouver puis me décide à l'appeler. La sonnerie dure un temp fou et je finis par sentir un téléphone vibrer dans ma poche... c'est le téléphone de J. qui ne l'a donc pas avec elle. Je panique à l'idée de ne jamais la revoir, puis me mets à espérer qu'elle aura pour premier réflexe de venir chez moi afin de nous y retrouver.
Course
Je ne me souviens plus des circonstances exactes, mais ma mère et moi devions partir pour le Brésil. Nous avions nos billets d'avion, mais l'enregistrement n'était pas encore fait. Cet enregistrement est devenu incroyablement compliqué, une véritable énigme à résoudre. C'était comme une aventure pour comprendre comment le faire. Le frère de ma mère s'est proposé de l'aider à s'occuper de cet enregistrement, mais elle refusait, n'ayant pas confiance en lui. Pourtant, je sentais qu'il voulait sincèrement l'aider. Il était sûr de lui, insistant pour lui prêter main-forte malgré ses réticences. Il disait : "tu vas partir au Brésil", en forçant un peu la situation. De mon côté, je lui disais : "Maman, laisse-le faire, j'aimerais aussi qu'il m'aide." Mais il m'a répondu, : "isi, occupe-toi de ton propre enregistrement, tu es capable de le faire." Comme s'il savait qu'il devait se concentrer sur ma mère. Dans cette aventure, ma mère et moi nous sommes retrouvées à un moment donné dans un endroit où il y avait du feu. Cela m'a semblé bizarre, alors je lui ai dit : "Maman, on est dans un rêve !" Dans mon rêve, je savais que lorsqu'on est conscient de rêver, on peut obtenir des pouvoirs. On me l'avait déjà dit. Alors j'ai répété : "On est dans un rêve !" Et là, un déclic s'est produit, comme une clé qui ouvre une porte vers un monde féerique. Grâce à mes pouvoirs, je pouvais manipuler le feu : l'arrêter, le déplacer, le faire voler. Un peu plus tard, j'ai à nouveau oublié que je rêvais, bien que ma mère et moi semblions toujours posséder nos pouvoirs. Cette histoire d'enregistrement et de prendre l'avion continuait. À un moment, je suis allée aux toilettes. Il y a beaucoup de détails qui me manquent, mais en sortant, j'ai vu ma mère, pressée, qui voulait me dire au revoir. Elle me disait qu'elle devait partir car son vol était avant le mien. R. avait d'ailleurs un peu modifié son billet. Je lui ai demandé : "Pourquoi es-tu si pressée ? Je n'avais pas compris que tu devais partir maintenant, surtout pendant que j'étais aux toilettes." Elle ne m'a pas vraiment expliqué, mais elle a commencé à courir vers un immense portail magique. Ce portail permettait, une fois enregistré, de se téléporter directement à l'aéroport. Mais le temps s'est écoulé d'une seconde à l'autre, et elle s'est heurtée contre le portail qui s'était refermé, lui refusant l'accès. C'était maintenant à mon tour de m'enregistrer. Je lui ai dit de ne pas s'inquiéter, que nous trouverions un message d'erreur sur l'écran pour expliquer la situation, que tout serait résolu d'une manière ou d'une autre. C'était une question de minutes, et c'est à ce moment-là que je me suis réveillée, sentant la pression monter en moi.
voyage en iran
J'ai rêvé que j'allais en Iran avec O. D. nous montrait deux trois trucs et j'avais quelques mots en farsi qui me revenait salam khoubi ? Il y avait de grandes montagnes enneigées et un petit village avec une rue centrale.
Rêve lucide d’un combat avec une succube
Je crois être toujours éveillé. Je suis allongé dans mon lit, dans le noir complet. Au loin j'entends un bruit très faible. On dirait une page d'information à la radio ou à la TV. Mais le son est trop faible pour que je comprenne de quoi ça parle. Est-ce une HH (hallucination au moment de l'endormissement (hallucinations hypnagogiques), ou au réveil (hallucinations hypnopompiques)) ou est-ce la réalité ? J'ai l'impression d'être trop réveillé pour que ce soit une HH. Le bruit dure un bon moment puis s'arrète... J"écoute le tictac du réveil et le bruit des quelques voitures qui passent... et le son me parait anormal, déformé, irréel. Serais-je endormi ?... Soudain je remarque qu'on dirait que deux mains ont attrapé mes bras et tentent de me plaquer contre le lit dans l'obscurité.. Mais la sensation n'est pas trés nette. J'ai de plus en plus l'impression que c'est un rêve... Je sens que mon corps est allongé sur le dos, légèrement tourné vers la droite. Soudain je roule sur moi-même vers la gauche ("à la Raduga") pour voir... Les deux mains n'opposent qu'une faible résistance et j'arrive à saisir mon agresseur. Je sens un corps de femme nue, avec une peau un peu flasque. Bon, OK, j'ai compris : C'est bien un rêve et j'ai affaire à une succube qui tente de me ..... La créature m'apparait enfin; c'est bien une femme nue, assez belle, avec de longs cheveux bruns. Lé décor est toujours entièrement noir. J'attrape la succube et alors le décor se matérialise : Je me trouve dans ma salle à manger. La succube et moi nous combattons brièvement. Elle se débat mais j'arrive à la retourner et à la plaquer sur le sol, le dos contre le carrelage. Je me dis que ça ne doit pas être agréable pour elle car ce dernier est probablement trés froid. Je ne veux pas la détruire car elle est trop mignonne... Elle voulait me ..... mais à présent c'est moi qui la .... Mais je n'ai presque pas de sensations. Elle me regarde dans les yeux avec un visage sans expression. Je lui dis "Je te ..... !" et je m'active d'avantage ... mais elle reste impassible. J'interprète celà comme une marque de mépris et de dédain envers ma "performance". Je me sens vexé... Je commence à me demander ce que je pourrai faire d'autre après et dans quel autre décor je pourrai me projeter... ... Mais je me réveille.
Rêve lucide de mes parents décédés.
Je vais dans ma cuisine... et je me retrouve face à mes parents. Mais cette fois je ne me fait plus avoir : Je me souviens parfaitement qu'ils sont décédés depuis 10 ans. Je leurs dis "Je sais que vous êtes morts. Donc nous sommes dans un rêve !" Je me souviens vaguement qu'il existe une quête Iktomi (du forum attrape-songes) consistant à demander à un personnage de rêve ce qu'il devient quand on se réveille... mais je préfère ne pas poser la question de manière trop directe et brutale. Je demande à mes parents s'ils sont bien conscients que nous sommes dans un rêve et qu'ils ne sont quedes personnages de rêve. Mon père répond "...Oui..." d'un air impassible. Je lui demande si ça ne lui fait rien d'être un personnage irréel. Mon père répond "...Non..." d'un air blasé. Puis mes parents s'éloignent dans le couloir comme si mes questions les ennuyaient... Mais je les suis. Je demande à mon père si ça ne lui fait pas peur de savoir qu'il risque peut-être de disparaitre si jamais je me réveillais. Il me répond "...Non..." d'un air lassé. Je pense que le moment est devenu de lui demander s'il sait ce qu'il va devenir après mon réveil... même si je devine qu'il risque de me répondre d'un simple "Oui" ou "Non"... Mais soudain je me rend compte d'une chose : ma situation est tout à fait comparable à celle d'un personnege de rêve, car... Mais je ne me souviens pas qu'il y ait eu une suite ... Je suppose que je voulais dire que moi aussi je disparaitrai à la fin de ma vie... ...Je suis brusquement réveillé par machatte Chouchou qui est en train de vomir dans le lit.
Couples
Je suis à un mariage avec E. et mes amis. O. m'avait donné une sorte de sirop de drogue et en avait déjà mit dans nos verres. Avec E. on avait volé, dans notre chambre, un jean Gucci et plein de produits de beauté. On partageais cette chambre avec un couple de lesbiennes (une a la peau noire et l'autre, blanche) et il y avait quelque chose entre moi et l'une d'elle (celle à la peau noire). Après plein de simagrées on s'est embrassés. De retour sur Paris je recherchais du travail dans une librairie (rêve récurant - où parfois je ne sais plus si c'est un rêve ou pas) en bas de chez U. et M. Ils avaient déjà engagé quelqu'un. Dans la rue, je rencontre une femme et un homme à la peau noire qui font une sorte de danse acrobatique où ils montrent leurs sexes. J'avais très envie d'appeler la fille du début mais l'un des danseurs m'a dit que j'étais surement défoncé au mariage et qu'il ne fallait pas croire ces sentiments.
Rêve lucide contre les Huns.
Je suis probablement en sommeil lent car je ne fais qu'une simple rêverie. Je m'imagine en héro courageux et invincible... Soudain je bascule en sommeil REM (sommeil à mouvements oculaires rapides). Je me retrouve dans un paysage de landes de type écossais. Partout il n'y a que des collines couvertes d'herbes. Et voila qu'une armée surgit du sommet d'une colline. Ce sont des Huns ! J'empoigne ma grande épée (une Claymore) et m'avance vers eux. Même si je dois succomber sous le nombre, je ne me déroberai pas et je tuerai de nombreux ennemis avant de périr moi-même. Je fais de grands moulinets avec mon arme et abas un nombre incalculable de Huns. Mais je vois que leurs ailes gauche et droite commencent à se refermer sur moi pour m'encercler. Je ne pourrai pas tenir longtemps dans cette situation. Heureusement mes hommes arrivent à mon secours et attaquent les deux ailes de l'armée ennemie. Je continue de tuer des tas de Huns mais je vois que mes hommes ont du mal à résister. Soudain les Huns abandonnent la partie et s'enfuient. Quand je vois le nombre de cadavres d'ennemis qui gisent sur le sol, je comprends que nous venons de remporter une grande victoire. Mais l'ennemi est toujours sur nos terres... (... Ellipse ...) ... Les troupes du roi Arthur sont venues renforcer mon armée. Nous traversons une haie et nous retrouvons devant une grande pâture. En face l'armée des Huns traverse une autre haie et se dresse devant nous. Il est temps d'en finir. Plutôt que d'utiliser nos épées, nous sortons nos arcs et les deux armées en présence s'envoient des volées de flèches. Comme les Huns sont moins nombreux ils se font massacrer. Rapidement il ne sont plus qu'une disaine. Je donne l'ordre de ne pas laisser de survivants. Finalement il ne reste plus que trois Huns : Attila, leur chef, est au centre. A sa gauche est un grand guerrier... qui se fait vite tuer par une flèche. A sa droite se trouve un gros guerrier moustachu qui saute sur un cheval et s'enfuit. Il monte bizarrement : Il est allongé sur le dos, les yeux tournés vers le ciel. Soudain Attila fait apparaitre un petit arc dans ses mains. A une vitesse incroyable il décoche une flèche sans même viser et atteint le fuyard qui quittait lâchement le combat. Attila nous regarde alors avec un grand sourire et dit "C'est bien ça que vous vouliez faire ?" . Puis il explique qu'il est le plus grand archer du monde et nous propose ses services. Je sens que les soldats d'Arthur son plutôt favorable à l'incorporer parmi eux et cela me révolte. Moi je voudrais qu'il soit mis à mort pour tous ses crimes... (Je suis tellement dégouté que le rêve bascule et recommence depuis son tout début. Ca me donne ainsi la possibilité d'en modifier le scénario ...) ... Je suis avec les soldats du roi Arthur. Nous nous trouvons dans un petits bosquet en train de préparer nos armes. L'ambiance fait plus penser à Robin des bois qu'aux chevaliers de la table ronde. Je ressens une impression de déja-vu. Soudain je comprends que je suis en train de revivre le rêve précédent ... et je deviens lucide. Mais je n'utilise ma lucidité que pour accélérer le défoulement de l'histoire. Tout ce qui m'intéresse c'est de me retrouver à nouveau devant Attila pour lui faire payer ses crimes. Je m'approche du roi Arthur. Je vois qu'il est représenté par Alexandre Astier comme dans la série Kaamelott. Je lui dis "Mais maintenant, sire, nous avons des choses plus importantes à faire. Nous devons aller combattre les Huns et nous couvrir de gloire !" Arthur m'indique qu'il est d'accord et son air entendu me fait comprendre que lui aussi sait que nous sommes dans un rêve qui recommence. Tous ses hommes l'acclament et nous prenons la route, passant par un chemin de terre situé entre un bois à gauche et une grande haie à droite... R4 : ... Je perd ma lucidité et bascule dans un faux-réveil. Le rêve est flou et je me sens assez somnolent. Je me lève et quitte ma chambre. Ma cousine C. est la. Mais je ne m'occupe pas d'elle car je suis occupé à la remémoration de mon dernier rêve. Lorsque j'arrive au passage où je comprends que je suis dans un rêve qui se répète, je m'exclame : "Mais c'était un rêve lucide que j'ai fait ! Je ne m'en étais pas rendu compte tout de suite ! C'était une petite lucidité, mais une lucidité quand même !" Je me tourne alors vers C. et lui dis : " J'ai fait un rêve lucide cette nuit !"... Mais je vois bien qu'elle s'en fiche. A son air je comprends qu'elle en a marre de ma lubie des rêves lucides. Je me réveille.
A l’usine
J'ai rêvé que je travaillais a la chaîne dans une usine. Avec E. on avait rencontré un garçon et naturellement elle commençait à s'asseoir sur lui a lui faire du pied devant moi. Moi très compréhensif je la laissai faire pour montrer mon ouverture. Au fur et a mesure on comprenais ce qu'on comprenais c'est a dire qu'il y avait possibilité d'un amour autre. Je tombais des nus. A l'usine ça allait pas fort ma collègue démissionnait du aux fureurs du patron. Je fis de même en le menaçant de venir le voir le soir tard avec un surin dans ma poche. Ça allait pas fort.
6 énormes selles de cheval et les intrus
j’entends le cliquetis d’une porte pendant que je petit déjeune mais je m’inquiète pas, on entend tout quand on est dans l’entrée ça doit pas être la mienne j’enchaine les paralysies du sommeil mais rien de nouveau ou trop effrayant d’un coup, la paralysie est plus intense et je vois un homme immense, jsp il fait américain comme sur les logos, barbe blanche, gros haut de forme et costume tout bleus, qui me regarde fixement sur le pas de ma porte, il a un regard persan cette fois j’ai vraiment le visuel qui va avec la paralysie et j’ai peur, j’essaye de crier mais j’y arrive pas, je finis par y arriver avec difficulté comme dhab (sauf que j’avais jamais essayé de crier avant) je me réveille et vais voir mon colocataire qui a dû m’entendre gémir geindre ou jsp quoi pour lui raconter j’entends encore le cliquetis de porte, et ça commence à me faire peur mais sans plus j’arrive dans la chambre et là mon coloc lâche d’énormes trucs noirs, un peu comme des protections équestres pour les chevilles je crois, avec du blanc au bout, qui volent tous parallèlement en faisant un bruit de malade de mouche, (ils font environs 20cm chacun et volent très bas) du sable, tombe par terre et une odeur de crottin ou caca de chien très forte monte d’en l’air j’entends encore le cliquetis je me précipite dans l’entrée et vois 6 énormes selles de cheval par terre, toutes parfaitement alignées en 2 lignes parallèle je me demande ce que c’est que ce bordel et appelle mon coloc, d’un coup je vois l’ombre de quelqu’un à la porte, d’une jeune fille d’environs 14 ans jsp on a une première porte en verre qui rentre dans le renfoncement du mur (je me fais la réflexion que je l’avais jamais remarqué) et notre deuxième porte habituelle seule la porte en verre est fermée et mon coloc allume la lumière ce qui fait qu’on voit tout sur le pallier et qu’elle voit tout notre appart elle nous demande: est ce que vous avez d’autres parties dans votre appartement ? laissant entendre qu’elle est déjà venue dans l’entrée et voudrait entrer venir voir le reste je lui dis brusquement non et qu’elle ne rentrera pas, elle a un sourire terrifiant mon coloc et moi on panique je sais pas comment elle fait mais elle arrive à rentrer comme si elle avait traversé la porte je lui demande comment elle est rentrée elle sourit juste je réussis à la mettre dehors j’essaye de fermer les deux portes mais j’y arrive pas car pour ça il faut qu’elles soient ouvertes un moment et j’ai peur qu’elle re rentre d’un coup, elle est avec un autre garçon avec une casquette et deux autres filles ils sourient tous terrifié je comprends et essaye de me réveiller puis rebelotte paralysie du sommeil je galère grave je me réveille dans l’appartement d'un ami (ça ressemble pas à son appart c’est tout petit) avec 4 autres amis et surement + on danse et tout puis j’essaye de leur raconter mon rêve horrible je me souviens pas de tout mais je me souviens de X qui joue à LOL et ya plus de musique, Y est sur un autre ordi je sais plus comment ça finit mais je finis par refaire une paralysie et essayer de me réveiller cette fois je me retrouve dans ma chambre, avec mes amis mais pas Y cette fois, on est tous assis au bord de mon lit et on rigole, je raconte mon rêve de chez mon ami plus tôt, et d’un coup je vois du sable par terre, celui du premier rêve, et leur demande comment c’est arrivé là ils savent pas et j’ai trop peur, je vais vérifier l’entrée, et je comprends (et espère que je dors encore) et cette fois j’arrive à me réveiller d’un coup de grands yeux ouverts sauf que je me rendors et s’ensuit entre une suite interminable de paralysies du sommeil, dont l’une où l’on part des halles, il y a 5 autres amis toute la team avec qui on a vrmt bu un coup la veille et on marche dans la rue, à un moment tout le monde traverse au mauvais moment et je vois un homme être à deux doigts de se faire renverser mais au lieu de courir sur le trottoir il court dans le sens de la route d’un coup, pendant qu’on att toujours pour traverser mon père est là et il manque de se faire écraser par une ambulance qui fait un créneaux (mais il réussi à s’enlever alors qu’il était à moitié en dessous fin trop bizarre et l’ambulance était absolument gigantesque) je refais une paralysie et me réveille mais sens mon corps qui lutte absolument pour me rendormir et s’ensuit encore une suite interminable de paralysies je finis par me réveiller j’ai trop peur et essaye avec toutes mes forces de me lever me mouiller les cheveux et prendre un café c’est fini mais j’ai peur d’être encore dans un de ces rêves maintenant
Le Hezbollah pour mon anniversaire
Je fête mon anniversaire dans une grande maison avec un grand terrain. Il y a toutes les personnes que je connais, et les gens forment un grand cercle dans le jardin. Mon père semble animer une sorte de cérémonie en mon honneur où il parle de souvenirs. Je suis très émue. Je suis entourée de mes copines dans une petite pièce de la maison. Je fais des allers-retours entre cette pièce et le jardin. Plus tard dans la soirée, ou plutôt le lendemain matin, je regarde par la fenêtre de cette petite pièce et je vois dans le champ de blé un homme allongé sur le ventre avec une arme, qui semble viser la maison. J’ai très peur. J’appelle mon père et je lui dis que l’homme a déposé un colis devant la maison et que je pense que c’est une bombe. Mon père va voir ; la boîte est un gros flycase et, finalement, quand il l’ouvre, il s’agit d’objets non identifiés, alors nous refermons la boîte. L’homme frappe à la porte et entre. C’est un homme du Hezbollah qui vient nous contrôler. Il place ma tête devant une sorte d’écran en triptyque, et plusieurs voyants s’allument progressivement au vert. J’ai passé le test. Je pense que c’est fini, mais il veut contrôler l’identité de tout le monde. Mes amies sont habillées un peu "sexy", alors je leur donne de grands t-shirts pour éviter qu’elles soient embêtées davantage. La fête est gâchée.
mick jagger c’est mon pere diabolique
moi dans une réalité parallèle mick jagger c’est mon pere diabolique je suis dans un jardin j’essaye de dorir mais jsuis tzrrifié je trtoube un chat je dois partir mais je dois aussi redecouvrir l’humanité sur cette nouvelle planete (j'ai gardé les fautes d'orthographe qui pour moi coïncident bien avec l'absurdité du rêve)
Transformation et essayage
Je suis dans mon salon, un verre à la main contenant un liquide vert. Je trouve ça bizarre mais bois quand même. Ça à un goût de limonade pétillante alors qu'on ne voit pas de bulle. Le verre disparait et je commence à me poser des questions. Je fais un test de réalité en me bouchant le nez et je sens l'air qui passe ! J'ai envie d'essayer une transformation en femme. Je me concentre et je sens comme une diminution à mon entrejambe, je tâte et je désormais comme une cavité. Je me dirige dans la salle de bain et me regarde dans le miroir, l'image n'est pas très stable mais je continue d'opérer mes changements. Je mets mes mains sous ma poitrine en tirant plusieurs fois et en modelant comme de la pâte à modeler, ce n'est pas très convaincant. Je réfléchis à une alternative car à ce train-là je n'arriverais à rien. J'ouvre la porte de la salle de bain en pensant à me retrouver en ville et ça fonctionne ! Je marche dans la rue en essayant de repérant des PR (personnage de rêve) femmes. Je finis par suivre une brune en robe noire plutôt pas mal avec des formes généreuses. Elle marche assez lentement comme absorbée par les vitrines des magasins. J'arrive à son niveau et passe à travers elle en incorporant son corps. Au début c'est comme si j'étais un fantôme, je sentais mes membres passer à travers, puis je fini par me combiner à son enveloppe charnelle. Je me stoppe net et me regarde dans la vitrine. Je fais quelques mouvements et vois bien la femme réagir de même. Je rentre dans le magasin qui a l'air d'être un magasin de vêtements. Ça tombe plutôt bien, je me dirige vers les cabines d'essayage, mais une employée m'interpelle et me dit que je n'ai aucun article. Je tends la main et attrape un soutien-gorge rouge par télékinésie. L'employée ne semble pas surprise et finit par me laisser passer. J'entre dans la petite cabine et me regarde dans le miroir, l'image n'est pas tout à fait nette mais je reconnait bien la femme de tout à l'heure. Je pose mes mains et tâte ma poitrine, elle semble plus réaliste que mes essais de tout à l'heure. Je remarque que je n'ai pas la robe noire qu'elle portait initialement, mais un débardeur et une jupe de taille moyenne. Je passe ma main sous la jupe et je ne sens pas de sous-vêtement... J'ai toujours le soutien-gorge dans les mains et me dit que je pourrais essayer de le mettre. J'enlève mon débardeur d'un coup sec, je n'ai également rien en haut... Je continue un peu à jouer avec mes seins, puis j'essaie de mettre le soutien-gorge. Je l'enfile à l'envers puis le tourne en enfilant les bras. Je n'ai au final pas trop de difficulté et la taille du bonnet à l'air de correspondre. Je claque des doigts et fait apparaitre une culotte correspondante en bas. Je suis plutôt satisafait.e et décide de sortir de la cabine sans me soucier des autres. L'employé de tout à l'heure me regarde bizarrement. Je sors du magasin et j'entends les barrières antivol qui sonnent. L'employée sort en criant et je finis par courir puis m'envoler. Dans les airs je finis par ralentir ma course et en stationnaire je me débarrasse des sous-vêtements. Je continue à explorer mon nouveau corps en glissant mes doigts à différents endroits et... réveil.
Grenades de Vache Qui Rit
Je découvre qu’en mettant de la Vache Qui Rit dans de l’aluminium, ça fait des grenades explosives… j’en jette plusieurs… Pourtant il ne faut pas jeter la nourriture et la Vache Qui Rit est emballée dans de l’aluminium de base déjà…
Vengeance
Dans une grande maison, avec E. et des amis, on se fait séquestrer dans le bâtiment, volés. J’ai un peu peur pour mon ordi et je réussis à le cacher. En revenant au premier étage, j’apprends qu’E. a été tuée et scalpée. Je la retrouve non scalpée mais morte et j’imagine violée. Je pleure et pleure aux côtés de ma famille. (Je pleurais dans le rêve d’un rêve où E. était morte aussi). Je deviens un homme noir avec une coupe afro et mange les tueurs. (...) Mes mains sont blessées, ouvertes presque en deux. Quand je mets de l’eau dessus, elle rentre à l’intérieur comme dans un profond lac.
S’envoyer en « l’air »
Je suis au boulot devant mon ordinateur, journée de travail ordinaire, mais je sens que je dois forcer pour arriver à lire ce qu'il y a sur mon écran, j'ai comme un doute et je regarde mes mains. Je vois deux doigts supplémentaires à ma main droite. Je décide de valider en faisant mon test de réalité favori : je me bouche le nez et respire, pas de doute je rêve bien ! Je me lève et me dirige vers E., elle porte un débardeur noir qui met bien valeur sa poitrine. Je tends ma main timidement et sous-pèse un sein puis le deuxième, au vu de sa réaction elle ne semble pas choquée mais reste passive. J'essaie de la manipuler en pensant qu'elle se lève et ça fonctionne. Je replace mes mains sur sa poitrine, exerce une pression et en y pensant mes mains traversent ses vêtements. Je peux désormais sentir la douceur de sa peau et je continue de malaxer non sans plaisir. Les autres collègues n'ont pas l'air de nous calculer et j'essaie un peu de modérer mon excitation pour éviter le réveil. Ellipse Je suis de nouveau devant mon ordinateur, et je calcule de nouveau que je suis en rêve. Je retourne voir E. mais elle n'est plus là. Je me lève et va à la machine à café et l'aperçois de dos. Je m'approche et dans mon élan coquin je recommence à lui tripoter les seins. Toujours pas d'objection de sa part et je fini par lui demander si elle veut aller plus loin. Elle acquiesce en rigolant nerveusement. Je lui ordonne de se déshabiller et fait de même mais je sens que cela va être compliqué. Les couches se vêtements restent ou reviennent. J'essaie de stabiliser le rêve en touchant un mur pour faire une pause. Une idée me vient, pourquoi ne pas faire comme tout à l'heure et faire comme si les vêtements ne sont pas tangibles ? Sans regarder je dirige ma main vers mon entre-jambe et saisis mon membre. En effet c'est comme si je ne portais rien. D'une raideur suffisante, je m'approche de la collègue toujours habillée et me colle à elle. Je sens d'abord comme une résistance du textile, mais en forçant un peu je sens le membre glisser parfaitement. La sensation est proche de la réalité. Je fais des mouvements lents pour éviter toute déstabilisation, c'est très fluide. Des collègues passent à côté de nous et E. semble gênée. On peut faire ça ailleurs si tu veux lui dis-je. J'adore voler en rêve même si c'est un peu compliqué par moment. Étant encore stable, je décide d'attraper ses mains et pense à décoller comme une fusée. On part en lévitation et on traverse le toit. On continue à monter dans les airs et je n'arrive pas trop à m'arrêter. Je fini par basculer sur le dos et Émilie se met à califourchon sur moi. Elle retrouve la route très vite et prend l'initiative sans que je n'ai à la manipuler mentalement. Dans ces conditions ça va être dur de garder une stabilité mais les sensations sont bien là, les va et vient répétés sont plaisant et le fait de voler en même temps est assez inédit pour ma part. La liberté de mouvement dans les air est assez jouissive. Je me sens assez proche du point de rupture et tente une chute libre pour le grand final. Je visualise comme un poids dans mon corps et me sent partir toujours avec ma collègue sur moi. Comme attendu c'est le moment d'extase, d'une puissance indescriptible... et je sens la situation se flouter. Ellipse Je me sens me réveiller dans ma chambre mais la situation change et revient à mon bureau à nouveau. E. est en face de moi et me fait un clin d'œil. Je me dit qu'il faudrait peut-être que je me réveille histoire de noter le rêve afin de ne pas tout oublier mais j'hésite à retenter des choses. Cette fois-ci je ne passe pas par quatre chemins, j'ordonne à ma collègue de venir s'occuper de moi. Elle arrive et je lui propose une glace. Je commence à avoir des sensations mais je finis par me réveiller.
il y a du bruit sur le parquet
tout mes membres sont endormis et mes organes ralentis sauf une petite partie de moi dans mon cerveau j’ai jamais fait un sport pareil, réveiller une jambe c’est quelque chose mais tout un corps c’est pas la même affaire mais j’ai peur c’est urgent il y a du bruit sur le parquet je sais que ces pas qui me paralysent ne sont pas sur ce parquet, celui du monde ou vous etes parce que le bus 2 faisait ce créneau bizarre et impossible dans ces rues biscornues qui rappellent le sud et n’existent pas dans votre Lyon je le sais parce que je me suis posé la question de si j’étais entrain de penser ou rêver dès que j’ai compris que la discussion que j’étais entrain d’avoir, moi assis devant à gauche du bus et lui à un siège d’écart de moi à droite, penchés vers le couloir pour s’entendre dans les oreilles, venait de ma tête et pas du tiroir à souvenirs on a changé d’endroit je suis dans mon lit et je crois être dans ce monde, celui où vous êtes mais il y a du bruit sur le parquet et j’ai peur je sais qu’il n’est pas l’écho de ce monde, celui où vous êtes, parce que mon pied ne ressemble pas à celui de Bob l’Éponge dans celui-là mais je dois vérifier j’ai peur et dois partir j’essaye une fois, impossible de soulever ma tête de l’oreiller qui voudrait m’aspirer sous le matelas la troisième fois j’ai envie d’abandonner mais j’ai peur et ça va empirer septième fois ma tete fait un bon de 2cm qui me paraît d’une ascension gargantuesque est ce que je me suis vraiment gratté tout à l’heure ?
Les 3 Mickael Jackson veulent entrer chez moi
Je suis dans mon salon, j'organise une petite fête. D'un coup, je vois arriver un groupe de trentenaires que je connais pas du tout, je vais vers eux et leur demande qui c'est. Je crois que j'étais déjà un peu de mauvaise humeur et quand j'apprends que je ne les connais ni d'Eve ni d'Adam je les vire pas très gentiment. S'ensuit une centaines de gens que je recale de chez moi, qui veulent s'incruster en faisant le vigile à la porte, sauf un gars à la moustache que je connais pas je sais pas pourquoi je l'accepte j'ai dû bien aimer sa moustache. Le sketch continue pendant que la fête bat son plein moi je reste dans l'entrée, et là 3 Mickael Jackson, un sosie, un ? et le vrai ils sont très grands et veulent rentrer, ils sont accompagner de quelqu'un qui me dit qu'il FAUT qu'ils rentrent. Paniqué, ils me font peur et ont un regard très neutre et supérieur, je dis non! et je ferme la porte sauf qu'elle se déboîte et ils essayent de la retenir. J'arrive quand même à leur fermer la porte au nez et je vais faire une sieste sur un pouf à côté de la porte. D'un coup des ami.e.s qui faisaient parti de ma fête viennent me voir et j'entends au loin demander en criant qui avait caché l'ecstasy. Je me réveille à ce moment je crois ou alors ça dure encore un peu je suis plus sûr
Vagues immenses à Lisbonne
Selon moi je suis à Lisbonne (mais n'étant jamais allé là bas je ne peux pas l'affirmer). Il y a pleins de maisonnettes colorées, avec une vue en contre plongée sur la mer et les vagues. Moi j’étais dans une pièce bleue foncée et vide avec une seule fenêtre. Puis les vagues montaient jusqu’à passer par la fenêtre mais ça ne m’inquiétait pas, l’eau était sombre et le sable aussi. Puis je suis allé sur la plage je sais plus pourquoi. Tout était si agréable...
Visite d’appart en pleine nuit
J'ai RDV pour une visite d'appartement depuis plusieurs mois. Au même moment j'ai aussi RDV avec T. et E. pour un verre. Je leur propose de venir avec moi faire la visite mais me rends compte en chemin que ce n'est pas le bon jour... Tant pis, nous y allons quand même. Je sonne à l'interphone en pleine nuit pour demander si je peux visiter maintenant.
La transe
Je suis à une exposition ou avant une séance d’opéra. On est réunis avec d’autres jeunes gens dans une sorte de salle d’attente. Je suis fatigué et je m’allonge sur une table en position fœtale. Soudain je sens que mon pied tremble et que je peux/vais rentrer en transe. Je transe comme ça sur la table et les personnes autour n’y croient pas où se moque un peu. Ensuite je flirte avec une énorme femme. Un homme me poursuit longuement dans tout le musée, j’ai peur. J’arrive à me retourner pour le planter.
les deux chats
On a mit ma chatte dans une cave pour la garder. En revenant, en ouvrant la cave, on se rend compte qu’il y avait déjà deux chats dont un hyper agressif qui me saute à la jambe. Je dois le tuer en l’étranglant pour qu’il me lache. Il est tout ratatiné mais au moins j’ai sauvé ma chatte.
mon père
David Bowie est mon père et je suis ravi
moi, webcam viewer
Je me suis inscrit sur un site illégal pour visionner les webcams et caméras privées du monde entier. Plus tard, après avoir regardé seulement une vidéo webcam, je reçois un mail commun qui m’est incompréhensible du genre « Triste de cette déconstruction, mais fière d’avoir fait parti du projet. » Lu sur l’ordi de mamie. S’ensuit l’extinction de l’ordi puis du mien, tout est effacé pour les utilisateurs du webcam viewer. Je pleure en pensant à toutes mes photos, mamie me console et se fiche de son ordi. Plus tard je suis dans une salle avec un écran qui diffuse une webcam. J’essaye de trouver un moyen de la filmer, finalement j’arrive à la brancher à une caméra.
le clown qui fait la poule
j’ai fait une paralysie du sommeil, mon sommeil était rythmé par les sons de mon colocataire qui joue sur son ordinateur, ils influaient mon rêve et j’en étais plus ou moins conscient d’un coup j’entends des pas derrière moi et une voix stridante et assez menaçante qui me réveille en criant en imitant la poule, puisque j’étais dans un sommeil très léger et semi conscient je conscientise que c’est sûrement une paralysie du sommeil mais j’ai peur que ca empire, je me force à me réveiller mais c’est super dur j’arrive à me mettre sur le dos vers le son, où l’emplacement est vide j’ai peur de me laisser retomber dans le sommeil, je me lève me faire un café
Dissolution familiale
Je suis en voiture et nous voulons aller dans la vieille ville, personne ne m'aide à trouver et je pleure. Toute ma famille me renie. Ma mère me fait signer des papiers de notre dissolution, pour que je ne sois plus dans la famille. Je suis en pleurs. Ils rient. Je n’ai plus de toit ni de quoi manger et plus de contact avec ma famille. Je pars dans un espèce de festival avec des amis. Une fille me des mains mon parfum et il tombe je crie un peu et elle m’humilie. Tout le monde est contre moi. Elle est riche. Je crois que dans le rêve c'est la maman de P. Elle me dit que j’allais être rien, qu’elle a du pouvoir et elle part dans un truc de danse mystique avec une coiffe de perle. Un ami m'a brûlé aussi. Il y a M. et sa copine (il en avait une dans le rêve). Je suis en pleurs du début à la fin. Pour aller dans le coin yoga, je passe devant un garçon qui interdit à l'entrée le téléphone. Un mec le photographie et le charge avec un mini chargeur bluetooth. Je suis en pleurs et je vois à la télé Kali Uchis qui chante en live "Te Mata". Je regarde comme un enfant abandonné. Et j’entends une fille que je connais, mais je sais plus qui, dire «regarde elle adore, elle connaît par cœur » à la fin kali Uchis dédicace sa performance à « JODO46 ». ´ J’ai des cartons déchets dans mes joggings.
opéré
je me suis fait opérer (comme dans la vraie vie) dans mon rêve; je rencontre qlq avec qui je peux tout faire et ma condition handicapante est plus là je sais plus mais je sais que dans mon reve j’essaye de pas trop faire le fou
La film à l’arrache
Je réalise un long métrage avec ma compagne. On a réunis tous nos amis pour nous aider. On est pas très bien préparé on a pas fait de découpage, de séquencier ou quoi. Ça se passe plutôt bien.
TYROLIENNE NOCTURNE
Dans une ville qui ressemble à un Paris moyenâgeux, je suis poursuivi en pleine nuit par plusieurs hommes. Ils portent une longue robe noire et des cagoules pointues. Ils ressemblent à des membres du KKK, à des Nazeranos ou aux trois petits brigands du comte de Tomi Ungerer. Dans l'élan de la course je tente de me réfugier dans un moulin. Je monte à l'étage mais ils me suivent toujours de près. Je décide alors d'emprunter une tyrolienne qui part de la fenêtre pour arriver à la rue. Sur cette tyrolienne je prends alors beaucoup trop de vitesse. J'ai peur de la réception au sol, j'ai peur de me casser les genoux. Je me réveille.
La définition de l’égoïsme
Il y a la conférence de Tobie Nathan, je suis impatiente et cela fait longtemps que je veux la voir. Je souhaite me mettre tout devant. Le frère d’un mec du collège, qui était déjà assis en première place, a une place libre à sa droite. Je souhaite m'y installée mais il me dit vouloir garder cette place libre car il fait trop chaud. Je pète un plomb. Je le dis à C. (ma voisine d'appartement) et une fille du lycée. Elle me dit "tu vois C. c’est pareil, c’est pour ça qu’elle a pas voulu t’écouter". Je ne sais plus qui est bon ou non. En me réveillant, je me suis dit cette phrase: "En fait l’égoïsme c’est lorsque tu peux engendrer un énorme bonheur pour quelqu’un mais tu décides de ne pas le faire parce que ça te dérangerais une minute."
La patinoire triste
Avant d’aller au spectacle de la patinoire, je veux passer par l’étage. Je me trompe et j’arrive sur la patinoire des enfants. L’homme me reconnaît et me dit en s'énervant que je dois payer quelque chose. Je lui dit que ça fait plus de 4 ans que j’ai arrêté. Il me demande pourquoi et je lui dis : "mes études". Il pense que je suis encore en psychologie et je lui dis avoir changé. Il s’énerve, et me dit que c’est "comme ça aujourd’hui", "qu’on s’amuse". Je m’énerve et lui dit que je préfère ça plutôt que de rester debout à vérifier les passages. Là, sa mère arrive et lui redevient un petit garçon. Ils sont d’origine africaine (je ne me rappelle plus le lieu), le petit me parle et je lui dit qu’il faut jouer. Sa mère me regarde et me dit "pourquoi jouer" tout en pointant son oeil, bleu profond et aveugle. Je lui dis: "parce qu’on rit beaucoup, à en pleurer, quand on joue". Je lui dis que je joue aux cartes. Ils ne sont pas très gais. Nous marchons, la femme jette une affiche au sol, le petit dit qu’il savait, sa maman lui avait dit. Et avec son fils, ils piétinent l’affiche sur laquelle était inscrit un nom, sûrement politique. La femme ne sourit pas.
Rêve lucide dans une ville
Je cours à très grande vitesse dans une hallucination hupnagogique. Je remarque que la ville m'apparait telle qu'elle était dans les années 60. Je parcours la totalité du centre-ville en allant du sud jusqu'au nord. Puis je fais demi-tour et retourne au centre avant de courir jusqu'à l'extrémité ouest. Ensuite je refais demi-tour.... Puis je me téléporte pour courir dans l'avenue d'Italie à Paris (où j'ai habité quelques temps).... Puis je reviens à Maubeuge... puis je me retrouve dans une ville inconnue... Mon entrée en rêve lucide se fait tellement progressivement que je ne remarque aucune transition.. : ... Je rentre dans un grand bâtiment où il semble y avoir une réception. Je monte un grand escalier et arrive sur un palier. Je vois une dame blonde portant une robe bleue à manches très courtes et de grosses boucles d'oreilles en forme de boules argentées. Je trouve qu'elle ressemble très vaguement à J. Probablement que celle-ci à servi de modèle de base pour fabriquer ce personnage. J'ignore totalement si je suis encore dans une HH ou si je suis entré dans un rêve lucide. Si c'est le cas alors peut-être que cette dame est mon guide spirituel ?... mais je raconte des bêtises : Je ne vais tout de même pas encore croire à ces mythes new-âges à mon âge ! Je vais plutôt demander à cette dame si elle ne veut pas me servir de guide pour me faire visiter les lieux... mais je change d'avis et me dis que je serai plus libre en me promenant seul. Alors je repars en courant (dans ce rêve je passe mon temps à courir pour avoir le temps d'en voir le plus possible...)... (... Passage non mémorisé ...) Il me semble que j'ai revu cette femme à la robe bleue une seconde fois un peu plus tard... (... Passage non mémorisé ...) Je rentre dans un grand bâtiment et me trouve devant des hommes en costume. Ceux-ci sont surpris de me voir et semblent me regarder comme un intrus. Je veux leurs demander s'ils connaissent mon vrai nom... Mais je me ravise : Je vois bien qu'ils se demandent qui je suis, ils ne peuvent donc pas connaitre mon vrai nom (De plus ça fait plusieurs mois que j'ai déjà fait la quête de la recherche de mon vrai nom !). Soudain les hommes se précipitent sur moi et je m'enfuis. J'attrape un grand bâton au passage et m'en sers comme d'une perche pour effectuer de grands sauts afin d'aller plus vite. J'arrive sur une terrasse et saute dans le vide. En bas il y a un parking et je rebondis d'un toit de voiture à l'autre, comme si c'était des trampolines, tout en narguant mes poursuivants. Je saute tellement haut que j'attrape brièvement le vertige. En m'aidant de ma perche, j'atterris sur une voiture décapotable dont l'arrière est rempli de livres. J'en saisis un au passage et regarde sa couverture : Il y est écrit "Sidney Bechet" ). Je dis : "Hmm ! Saine lecture !"... Puis je continue de rebondir de voiture en voiture et atterris sur une allée recouverte de petits galets. Je recommence à courir... (... Passage non mémorisé ...) ...Je suis dans une belle demeure et je cesse de courir. Je me dis que je devrais mémoriser tout ce que je viens de faire si je veux pouvoir le décrire dans le forum... Mais j'ai tellement couru que mon cerveau n'a pas eu le temps de tout enregistrer correctement. Tout ce que je peux dire c'est que je viens de visiter trois maisons et que je me trouve maintenant dans une sorte de mairie... ... J'ouvre une porte-fenêtre et me retrouve sur un grand balcon. J'ai envie de sauter dans le vide mais sans voler et sans jouer au passe-muraille, c'est trop commun. Par le jeu de ma volonté, la balustrade se fend en deux parties qui s'écartent alors que je m'avance. En bas une grande foule m'acclame. Ces gens croient peut-être que je suis leur nouveau maire puisque je suis dans une mairie ?... (... Passage non mémorisé ...) ... Je cours dans un grand couloir. Je m'arrète car, à droite, je viens de voir mon reflet. C'est une vitre avec un volet abaissé derrière elle, ce qui l'assombrit. Je regarde comment j'y apparais... Je suis ressemblant bien que plus jeune et avec une grande mèche sur le front. Je m'amuse à déformer mon visage comme s'il était de la pâte à modeler. Je tire sur mon nez et l'allonge. Je remonte un oeil et abaisse l'autre. Puis j'écarte les deux yeux. Ca me fait un visage grotesque ! Je mets alors mes deux mains sur mon visage en souhaitant qu'il redevienne normal. Je remarque que mes mains sont chaudes (alors que IRL elles sont souvent froides)... (... Passage non mémorisé ...) ... Par une porte ouverte je vois un escalier de marbre blanc en colimaçon. Mais il est très étroit (moins de 1;5 mètre de diamètre) et semble descendre à l'infini. Il donne une telle impression de claustrophobie que je n'ose pas l'emprunter... (... Passage non mémorisé ...) ... Je monte un escalier. Sur le palier je vois une femme qui semble attendre en regardant vers la droite d'un air rêveur. Elle est assez petite, d'une beauté moyenne, brune avec des cheveux courts et porte une robe courte de couleur crême avec des manches très courtes. Le tissus semble très fin. Cette femme me fait penser à mon amie C. mais en plus jeune. Je la prends contre moi et lui caresse ses bras nus. Ils sont doux comme la peau d'un bébé. Puis je plonge ma main dans son corsage. Elle rigole... Soudain la scène change. Je suis assis dans un canapé avec cette femme et ma mère et nous prenons le thé. Je comprends alors qu'elle est bien C. redevenue jeune. Je remarque que ma braguette est ouverte et qu'on voit tout... mais ce n'est pas grave car on est dans un rêve... Soudain la scène change à nouveau. Je suis à présent dans une pièce avec une quarantaine d'autres personnes. Elles sont toutes de ma famille (surtout du côté paternel semble-t-il). C'est donc une réunion familiale. Mais je suis conscient que pratiquement toutes ces personnes sont décédées IRL... je crois donc me trouver dans le monde des morts. Je vois ma grand' mère S... et je prends conscience que tout le monde ici est vieux. J'avais pourtant lu que les morts aimaient reprendre la forme qu'ils avaient dans leur jeunesse. D'ailleurs je me souviens que mon père disait souvent que, dans sa tête, il se voyait toujours comme lors de sa jeunesse. Et moi-même j'ai souvent tendance à me voir comme quand j'avais environ 15-20 ans. Les morts devraient donc se matérialiser ainsi, jeunes comme ils s'imaginent. Je prends la parole et leurs dis : "Pourquoi ne prenez-vous pas un aspect jeune ? Vous le pouvez puisque nous sommes dans le monde ..." J'allais dire "...dans le monde des morts" mais je me souviens que nous ne sommes que dans un rêve. Alors je dis "... dans le monde psychique". Rien ne semble changer... Mais je remarque que, peu à peu, tout le monde se met à rajeunir lentement. Et je me retrouve entouré d'ados et d'enfants. Je vois ma cousine C. telle qu'elle était vers l'âge de 12-15 ans. A sa gauche je vois une jeune femme qui doit être sa mère, ma tante C. jeune. J'entends la voix de ma mère, sans la voir. Elle dit que je suis drôle car elle me voit redevenu un bébé. Pourtant je ne me vois pas comme un bébé. Je remarque un jeune garçon avec des sourcils épais et une grosse voix. Je ne le reconnais pas. Il avance en disant bonjour à tout le monde et en appelant chacun par son prénom. Je ne sais pas comment il fait pour les reconnaitre car moi je ne reconnais presque personne : Ils ont tous trop changé. Il arrive devant moi : Pour rire je lui donne un nom fictif. Je lui dis : "salut Marcel ! Tu ne me reconnais pas ? Je suis L. !" Et je me réveille.
parking arrière du carrefour
J'apprenais à ma famille à voler en sortant par la porte du parking arrière du carrefour de chez eux. On voulait toujours plus. On était une famille un peu beaucoup crazy. Ca se terminait mal.
2000 euros sur soi
Avec K., dans une galerie d’art. Il y a un carton un peu abandonné dans l’entrée, contenant des sacs plastiques renfermant des vêtements. On en pique pas mal et on court dans la rue, on dévalent les pentes de villes exagérément pentues. On ouvre les sacs et on découvre des maillots de foot. Moi un deux Nike noir je crois, et pour K. un maillot de foot Chanel et une casquette. Il dit "j’ai 2000 euros sur moi". Je suis un peu jaloux mais ça va. (Dégouté le matin que ça ne soit qu’un rêve).
Rêve lucide direct
Je décide de tenter un WILD (Wake Initiated Lucid Dream) par visualisation car j'ai la sensation d'être dans les conditions requises. Je veux me visualiser sortant de mon lit puis me déplacant dans ma maison (comme dans la dernière méthode de Raduga)... Et je m'endors immédiatement... ... Je suis dans mon lit et je repousse mes couvertures pour me lever. Je me demande où je suis : Encore dans le monde réel ou déjà dans un rêve ? Je remarque la sensation tactile très réaliste de ma main tenant la couverture... mais ça ne prouve rien. Je me projette alors en l'air par la pensée... et je m'envole. C'est bien la preuve que je suis dans un rêve. Je crois bien que c'est le WILD le plus facile et le plus rapide que j'ai jamais fait ! Je fais comme si j'étais dans une projection astrale. Je passe à travers le mur et me retrouve dans la chambre de mes parents. Je la traverse en effectuant un vol ondulant et en criant "Hou-hou !" pour jouer au fantôme. Je sais bien que mes parents ne peuvent pas m'entendre puisque ce n'est qu'un rêve (Mais je ne me rends pas compte que mes parents sont décédés depuis 12 ans IRL). Je traverse ensuite un autre mur et me retrouve dehors, dans le ciel nocturne. Je me demande ce que je pourrai tenter... mais je me dis que j'ai le temps et que je peux m'amuser un peu avant. D'abord je vais essayer de trouver une jolie femme. Je me mets alors à voler rapidement... de plus en plus rapidement. Je suis dans le noir mais je pense que ça doit être l'effet de ma grande vitesse (je ne pense pas au "noir onirique")... (... Ellipse ou séquence non mémorisée...) ... Je viens de me réveiller et je raconte mon rêve lucide à mes parents qui se montrent sceptiques. U., le second mari de ma grand-mère est là également et il est surpris de voir que, pendant mon sommeil, ma barbe semble avoir poussé comme si j'avais dormi pendant une semaine. Je me dis que c'est peut-être parce que, dans mon rêve, j'avais volé à une vitesse proche de la lumière : Ce serait un effet relativiste. Mais il me semble que, selon Einstein, on aurait plutôt le résultat inverse : Plus on va vite et plus le temps ralentit... (... Ellipse ou séquence non mémorisée...) ... Je me trouve à présent dans un grand banquet réservé aux personnes âgées. Je prends une grande feuille de papier et, dessus, je commence à relater mon rêve lucide sous la forme d'une BD. Mais d'autres personnes viennent s'installer à ma table et je dois dégager ma feuille car elles posent leurs affaires dessus. Je sors et montre ma BD à plusieurs personnes qui se montrent intéressées. Il commence à pleuvoir. Une grosse dame a laissé ma BD tomber dans une flaque d'eau. Heureusement je l'avais protégée en la mettant entre deux autres feuilles. Celles-ci sont trempées mais celle de ma BD est intacte. La grosse dame est désolée et s'exclame : "Ho que je suis mauvaise ! Mauvaise !".. (... Séquence mal mémorisée où je me trouve dans une sorte de péniche...) ... Je décide de retourner dans ma chambre d'hôtel pour mettre ma BD à l'abri de la pluie. Mais je ne me souviens plus quelle est ma chambre. Je reconnais là une situation récurrente dans mes rêves. Bon, puisque je me trouve probablement dans un rêve, je vais utiliser la méthode dont je me sers d'habitude dans de telles situations : Je vais fermer les yeux et me téléporter directement dans ma chambre d'hôtel...
La soeur robotte
Une famille achète un robot humanoïde pour leurs deux filles. Ils ont maintenant trois filles. Soudain le robot se met à bugger. Elle montre aux filles un petit téléphone à qui elle parle de temps en temps, comme une décharge. Elles comprennent qu’elle s’est faite vider. Après il y a des cafards partout et des gitans qui veulent voler dans la maison.
Accordeon
Je rêve que j’accompagnais un accordéoniste en faisant de l’accordéon qui ne faisait pas de son mais qui lui transmettait les bonnes vibrations alors que je ne sais jouer d’aucun instrument. Ensuite je parle avec quelqu’un qui a un piano et qui me dit qu’il est très vieux ce piano en bois et qu’on lui a donné y’a plus de 40 ans.
De l’eau dans la maison
(…) silence de la nuit mais par la lumière on devine que le jour approche. Dans la maison d’hôtes de M., il y a le père de G. dans une chambre et G. et moi dans une autre ? Je vois les choses comme à travers une maison de poupée ou la couverture de la Vie mode d’emploi de Perec. (…) G. et moi sommes peut-être les seuls réveillé·es dans la maison ? On veut aller dans la chambre de son père, voir comment il va, s’il dort encore. (…) vision d’une pluie fine ou une fuite d’eau qui pénètre la chambre et coule sur une multiprise. (…) (j’ouvre un parapluie?) On veut débrancher la multiprise pour protéger le père de G. mais G. s’apprête à la saisir à mains nues sans protection. Je lui dis de ne pas le faire, de trouver des gants, un tissu, car j’ai peur qu’il se brûle. Des petites étincelles crépitent comme des étoiles vivantes et mystérieuses
CHOUETTE SUR LES TOITS DE PARIS
J. Me dit qu'une chouette est sur le toit de notre appartement parisien. Ne croyant pas cette information, je pars vérifié par l'accès au toit qui est dans le couloir. Là bas, j'aperçois la chouette me fixant. Aussi, deux jeunes enfants sont dans un lit superposé et fixent cette chouette également, ils semblent avoir dormi dans le couloir.
Rêve lucide à la recherche d’un code/
Je suis monté sur les épaules de mon père et il m'emmène voir une fête foraine. Je me dis que c'est original comme HH (hallucination hypnagogique)... mais ensuite je me laisse entrainer par le scénario... Je vois qu'on est en train de monter une grande roue. Wah ! C'est la première fois qu'il y en aura une dans ma ville ! Deux filles passent en courant et bousculent mon père. Je manque de tomber. Elles me regardent en riant. Qu'est-ce qu'il y a ? Je prends soudain conscience que ma situation est anormale : Qu'est-ce que je fais sur les épaules de mon père alors que je suis un adulte et non un enfant ? Je descend et dis à mon père : "Hé ! On est dans un rêve !" Je regarde tout autour de moi. Le décor est réaliste... mais pas hyper-réaliste. L'image a le même degré de réalisme qu'une HH... mais je pense qu'on est dans un rêve car c'est trop long pour être une HH. Je me baisse en disant : "Quand on est dans un rêve lucide on doit stabiliser !" Je tâte le sol. Il est rugueux, constitué de macadam gris avec des gravillons coincés dedans. En observant mieux, je comprends que ce n'est pas du macadam mais de la terre tassée. J'arrive a en dégager une petite pierre sombre de forme parallélépipédique. Je me souviens que, dans leurs rêves lucides, certains s'amusent à goûter tout ce qu'ils trouvent (comme les bébés). Je croque donc la pierre et je dis "Ca a un peu le goût de nougat !" Je dégage ensuite une petite pierre rouge (probablement un morceau de tuile) et la goûte aussi. Je dis : "Ca a un goût plus doux !" Je me relève et constate que le rêve a changé. Je suis à présent devant la poste et mon père a été remplacé par ma mère. Je cherche ce que je pourrai faire... puis je lui dis : "Quand on est dans un rêve lucide, on doit faire des tests de réalité !" Je regarde alors ma main gauche. Elle a six doigts ! Je veux les compter un par un pour bien vérifier... mais c'est impossible : La main devient floue et les doigts semblent se dédoubler. J'essaie avec ma main droite... et c'est la même chose : Six doigts flous. Je constate que le rêve a à nouveau changé. je me trouve à présent dans une pièce et ma mère est en train de discuter avec une grosse dame. Je remarque que ma mère porte sa veste bleue foncée comme de son vivant. Je me souviens de la quête du vrai nom. Je lui demande donc : "Tu connais mon nom dans le monde onirique ?" Elle me regarde en riant d'un air gêné. Elle réfléchis, semblant chercher... puis elle me répond : "SISOROTONIQUE !" Ca me fait vraiment un drôle de nom ! Et difficile à mémoriser. Je me rends compte qu'il se déforme dans ma tête. Alors je demande à la grosse dame : "C'était quoi mon nom exactement ?" Elle aussi me répond "SISOROTONIQUE !" puis elle rajoute : "Je vais vous le graver sur le sol, comme ça vous pourrez le récupérer dans le monde réel !" Mais je réponds : "Non, ça me marchera pas. On ne peut rien rapporter du monde onirique !" Voila qu'une trentaine d'ados arrive et la femme les fait entrer dans une autre pièce. Je comprends qu'elle est une prof' et que ce sont ses élèves. Soudain je me souviens que j'avais déjà réussi la quête du vrai nom il y a plusieurs mois ! Maintenant c'est la quête du mot de passe que je voudrais réaliser ! Je crie donc aux ados : "Il y a quelqu'un qui connait le mot de passe pour arriver ici ?" Mais ils bavardent entre eux et me disent d'attendre. Je leurs crie : "Mais je ne peux pas attendre ! J'ai peur de me réveiller !" Un des ados lève le bras. Il est grand, mince, porte une petite barbe, de longs cheveux blonds-roux et un pull beige. Il me crie "ONZE !" Quoi, le mot de code serait donc un chiffre aussi court ? Je me souviens que, dans un précédent rêve lucide, une vieille dame m'avait dit que le mot de passe était "23"... puis elle s'était interrompue pour parler d'autre chose. J'avais cru que sa réponse était tronquée mais maintenant je me dis que ce "23" était peut-être bien la réponse complète finalement. Je demande au grand ado : "Et le 23 ? C'est valide comme mot de passe ? A quoi peut-il servir ici ?" et il me répond : "C'est un nombre valide pour la mesure d'un meuble !" Il m'explique alors que, dans le monde des rêves, les mesures des meubles sont très normalisées et réglementées. Il me montre une affiche représentant une table basse avec l'indication de sa longueur, de la largeur et de la hauteur. Mais les nombres sont trop petits et trop flous pour que je puisse les lire et vérifier si le "23" y apparait.
lancé de cuillères à glace
On était, mon père et moi, assis sur des chaises en plastique dans la rue devant chez moi et on devait lancer des petites cuillères en plastique vert très clair (pour manger les glaces en pot)comme un système de catapulte et viser une cible de l'autre côté du trottoir. Un moment on voyait de l'eau couler d'un tuyaux venant de chez le voisin après le passage entre nos deux maisons mais on devait d'abord ramasser toutes les cuillères tombées à côté de la cible. Ensuite, je me précipitais pour savoir ce qu'était cette eau qui n'arrêtait pas de jaillir du tuyaux; c'était des jardiniers qui nettoyaient le jardin du voisin, je m'énervais après eux, leur disant que ce n'était pas possible de laisser l'eau couler comme ça sans se rendre compte qu'il y avait un problème. On arrivait mon père et moi à leur faire arrêter l'eau en leur disant ce que j'avais expliqué à mon père juste avant lorsque nous parlions de subvenir à ses besoins; lui me disait que je devais juste produire des objets et les vendre et je n'aurais pas de problèmes d'argent et j'essayais de lui faire comprendre que produire de la matière superflue et polluante n'était pas la solution. j'étais désespérée par le fonctionnement de pensée des personnes autour de moi.
La force !
Je marche dans la forêt et je sens que ce n'est pas comme d'habitude. J'ai a la main un miroir, je regarde dedans et je vois mon reflet tout flou. Je l'envoi au loin de peur avec une telle force qu'il traverse le tronc d'un arbre. Je me dis ouah la force, je peux tout faire. Je prends l'arbre et l'envoi dans le ciel, quelle force ! Je cours très vite et traverse tous les arbres les branches les animaux de la forêt jusqu'à une clairière.
Canada
(...) je réfléchis à ma journée de travail et à P. qui a refusé ma participation à un projet pourtant commun. Je dors mais je suis comme dans un rêve. Je décide de me concentrer sur une image de mer (...) je nage dans un grand lac au Canada et je ressens la sensation de froid. Soudain mon père me propose de l'acompagner faire une randonnée.
Mon corps
Je suis dans mon lit chez moi et je regarde le plafond. Quelqu'un frappe à la porte mais je ne peux pas bouger. La personne essaye de forcer la porte et ca me fait peur. J'arrive enfin à me deplacer mais je vois mon corps encore dans mon lit. J'essaye de le toucher mais mes mains traverse son corps.
l’accident de famille
Je suis chez moi, je sens que quelque chose ne va pas. J'appelle une amie qui semble ne pas s'intéresser à ce que je lui raconte. Je me sens ennuyante. Je me couche et rêve que je marche au bord de la Seine. Soudain, je vois ma sœur courir vers moi en pleurant. Elle ne trouve pas les mots pour m'annoncer que notre famille est morte dans un accident de voiture. Ensemble, nous pleurons en énumérant les membres de notre famille que nous avons perdus. Je me réveille dans mon premier rêve en pleurant très fort et je suis en colère contre cette amie qui ne m'écoute toujours pas.
Je passe le bac en Transylvanie
J'étais en Transylvanie avec des potes, on devait repasser le bac. On était dans une maison en mode on révise. Mais tout d'un coup on regarde notre montre et il est 16h34, alors que l'épreuve de français commence à 16h30 (elle dure 3h). Du coup tout le monde s'active, et part pour l'endroit où on doit passer le bac. Mais j'ai oublié un truc à la maison. bref je repasse et j'arrête pas de perdre du temps. Je me dis mince il reste que 1H30. J'arrive en haut de la colline, et je vois le bâtiment. C'est un bâtiment immense, au milieu de la forêt, tout sur un étage, avec des lumières un peu cozy qui sortent des arches et tout (un peu lumière orange qu'il y a dans les châteaux la nuit, l'été). Un bâtiment tout en platitude un peu effrayant. Bref je me dis que je vais passer par une porte dérobée pour pas trop qu'on me voit, parce que c'est un peu la honte d'arriver en retard au bac (réminiscence de quand j'avais eu une panne de réveil pour mon brevet blanc ?). J'entre et là c'est TOUT NOIR, même avec ma lampe torche iphone genre. Finalement des gens me guident. Et j'arrive devant la salle de passage de l'examen. Dans le couloir il y a plein d'étudiants italiens (?) qui pleurent, on me dit que c'est parce qu'ils se sont fait tej de la salle car ils étaient en retard pour l'épreuve. Du coup ils pleurent ou ils révisent leurs autres matières. Je me dis que j'ai aucune chance de rentrer dans la salle. Il y a un genre de sas, entre deux portes avant de rentrer dans la salle. Il y a un petit hublot. Je vois qu'à l'intérieur la salle est plutôt petite. Et qu'en fait c'est un examen de civilisation américaine, genre ils chantent des chansons style O'Brother. La dame qui m'a accompagné (un genre de daronne charismatique aux cheveux courts qui n'a pas compris que je devais passer le bac [sans doute à cause de mon âge ?]) toque à la porte, le prof sort, il a grave une dégaine de prof en chemise calvitie et regard sévère, il me serre la main fermement, et me claque la porte au nez. La daronne est grave énervée, elle pense qu'il a pas compris, du coup elle re-toque.
Le tailleur blanc
Je suis au mariage de mon amie M. Je fais partie de ses amies proches qui l'accompagnent dans sa préparation. Elle me serre dans ses bras sans rien dire, mais je sens notre émotion. Un moment plus tard, nous sommes tous sur la piste de danse. Tout le monde est habillé en blanc satiné. Nous sommes appelés chacun notre tour pour marcher vers les mariés. Tout le monde a une démarche un peu similaire à un défilé de mode. Toutes les femmes du groupe ont des robes en satin fluides très belles et moi, je porte un tailleur veste pantalon très brillant aussi. Je me sens belle, mais je sens aussi que tout le monde est d’accord pour dire que je « n’appartiens » pas au groupe des femmes. Je ne comprends pas trop sur le moment. J’ai du mal à savoir si cela me flatte ou me blesse. Les gens autour de moi rigolent, mais ont l’air de me témoigner de l’affection.
Rêve lucide transformé en femme.
Je me visualise sous la forme d'une femme marchant rapidement dans la rue d'une grande ville... Mais je n'arrive pas à transformer cette rêverie en Hallucination hypnagogique. Peu après, cependant, je m'endors... R4 : Apparemment l'expérience a quand même réussi car je me retrouve dans un corps de femme marchant dans une rue. Mais le rêve est très flou, très mal mémorisé. (.....) Je porte une robe légère qui change sans cesse de couleur (bleue claire, verte, rougeâtre puis blanche). Il fait une chaleur caniculaire qui me dresse les poils sur les jambes. Je remarque donc que je suis une femme qui ne s'épile pas. (.....) Je cherche à voir mon reflet dans les vitrines pour savoir à quoi je ressemble. je ne crois pas que j'y sois parvenu. (.....) Je décide de m'arrêter et de m'assoir sur un banc pour me m........ (censuré !) afin de suivre le défi de J. Je m'en fiche de faire ça devant tous les passants puisque je sais que c'est un rêve. (.....) Quelqu'un me demande comment ça se fait que je suis une femme. Je lui explique alors que c'est à cause d'un défi que m'avait lancé Johanne il y a deux jours. Je me suis visualisé sous la forme d'une femme en m'endormant, et me voilà... (.....) Je ne me souviens pas de la suite... En fait mes souvenirs sont tellement flous que je n'ai aucune idée de la profondeur de ma lucidité.
L’école aux masques
Avec M. on est dans un ascenseur qui se rétrécie au fur et à mesure. Je remonte vite mais M. se fait écraser à moitié. Finalement on réussis à monter par un escalier dans l'ascenseur. Arrivés en haut on est prit en charge par des élèves d'une école habillés de masques. J'ai envie de tuer ces salops et je fais une blague.
Indice de possession
Ma soeur s'est faite posséder par un fantôme. Je remaque ça lorsqu'elle ne peut s'empêcher de lire un magazine qui en parle.
Rêve lucide à l’armée
Je suis, apparemment, revenu à l'armée. Je viens d'effectuer une ronde avec un berger allemand et je retourne au poste de garde (Souvenir de mon service militaire IRL en tant que commando). J'entre et vois que mon ex' est là. Elle me fait remarquer que c'est déjà le soir et que, selon les instructions, je dois donc fermer la porte à clé derrière moi. Je tends la main pour prendre le trousseau de clés qui doit se trouver accroché à un clou au mur... mais il n'est plus là. Mon ex', inquiète, me dit : "Il n'est pas là ?". Je regarde dans ma poche... mais il n'est pas dedans. Mon ex' fouille partout. Il faut retrouver ces clés sinon on va avoir des ennuis ! Je commence à m'inquiéter... mais soudain je me détends et je dis d'un ton nonchalant : "On est dans un rêve, donc ce n'est pas grave !". Je claque des doigts et la porte se verrouille toute seule. C'est pratique. Mon ex' continue toutefois à rechercher les clés... Et elle finit par les retrouver : Elles étaient dans sa poche. Elle est soulagée et moi je ris. Machinalement je mets moi aussi la main dans ma poche. Et je me rends compte que je porte un petit chandail gris-bleu pâle boutonné avec des poches très petites : Elle ne font que 2cm de profondeurs environ. Je me dis que si les clés avaient été dedans alors je les aurais certainement perdues...
déménagement
je devais déménager mon lit d'une rue à une autre, je commençais par le sommier et une copine du lycée remontait les escaliers pendant que je descendais. après je déménageais les draps qui étaient assez lourds. et je confondais les numéros de l'ancien appart et du nouveau.
Rêve lucide de combat contre un démon rouge.
Je suis dans mon lit et je crois être toujours réveillé (J'en prendrai conscience rétrospectivement : Comment pouvais-je voir dans l'obscurité ?). Je suis donc dans un faux-réveil. Je décide d'effectuer un WILD (rêve lucide initié depuis l'état d'éveil) par visualisation. Je me concentre en me visualisant en train de voler dans ma chambre. Je m'amuse même à faire "Houhouhou" comme si j'étais un fantôme. Mais j'arrète vite ce jeu ridicule car mon but est de faire un rêve lucide et pas de sombrer dans un rêve normal où je me prendrais pour un fantôme... Le décor et les sensations se sont stabilisées donc je pense être maintenant endormi et en train de rêver. (Je suis donc dans un rêve lucide à l'intérieur d'un rêve normal de type "faux-éveil". Bonjour la complication !) Je me déplace en flottant et sors de la chambre et vais dans le couloir puis la cuisine. J'ai envie de m'amuser à traverser un mur. Mais ce n'est pas facile car, chez moi, il y a beaucoup de meubles et il est difficile de trouver un mur bien dégagé... Soudain, venant du couloir, à ma gauche, surgit un démon rouge qui se jette sur moi. C'est un diable cornu. Nous nous battons et celà fait baisser ma lucidité. Je viens facilement à bout de lui : Je l'attrape par les cornes et lui plaque le visage contre ma poitrine. Puis je lui maintiens le cou avec mon bras gauche pendant que ma main droite attire par télékinésie un couteau (ou deux ?) qui se trouvait dans la cuisine. Le couteau arrive en volant et vient se placer dans ma paume. Je suis étonné que mon corps onirique arrive à empoigner un couteau du monde physique (je me crois donc dans une sorte de projection astrale). Je me dis qu'en théorie un couteau physique ne peut pas blesser un démon astral... mais je me souviens avoir lu il y a longtemps dans un livre "new-age" que les objets pointus pouvaient percer ou couper les lignes des champs de force constituant le corps des entités astrales. Mais j'ai pitié du démon. Plutôt que de le poignarder directement, je lui montre mon arme et lui fais comprendre qu'il a intérêt à s'avouer vaincu...
clope et sieste
j'étais avec des amix et partout où on allait (principalement chez les un.es et les autres), je demandais un oreiller pour faire une sieste et j'essayais de dormir. ensuite on était dans une sorte de rivière artificielle dans un immeuble. L. me proposait une clope alors que j'avais arrêté de fumer, je fumais quelques clopes mais me rendais copte de pourquoi j'avais arrêté. J copain de C arrêtait pas râler parce qu'on était pas assez fun.
Le Couvent
Un lac au premier plan et à l'autre bout une bâtisse en pierre genre granit dont le tout émerge des arbres. C'est un couvent, on est plutôt en altitude. On nous dit que c'est dommage à cause de l'exposition au soleil au soleil on peut pas trop en profiter et se baigner. Dedans un moine encapuchonné nous enseigne - je ne sais pas avec qui, mais je suis pas seul - comment restaurer une toile. Genre kakémono/tapisserie en toile de jute accroché au mur de pierre. Le moine reprend les striures d'une feuille ou du volume de quelque chose d'organique, sur la partie gauche du motif. Il appuie super fort et desuite la toile se gorge d'encre et le trait s'eppaisie mais en suivant la ligne du dessin. Je me dis houlà... Lui me rassure, tranquille, c'est pas grave, l'important c'est que cela reste dans l'esprit.
ordi cassé
je touchais un bouton sur le côté de mon ordi sans trop savoir à quoi il servait et un moment en montrant qqc à qqn un côté de l'écran se détachait du clavier. panique générale car je n'avais pas moyens d'en racheter un. finalement je retouchait le fameux bouton et tout se resolidarisait.
Rêve lucide à lafoire
Je tente un SSILD (rêve lucide induit par les sens) et un début de visualisation... Finalement j'arrive à me rendormir... Je suis dans ma cave avec ma mère qui surveille des ouvriers en train de travailler. Je me sens un enfant et j'ai envie de m'amuser. Je me demande si je pourrai arriver à voler. J'essaie... et j'y arrive. Je m'amuse alors à voler à grande vitesse d'un mur à l'autre en faisant à chaque fois demi-tour juste avant de me cogner. Je dis à ma mère : "Regarde, maman, tu saurais faire ça ?". Ma mère me regarde d'un air indulgent comme si j'étais un enfant qui fait le fou. Je me reprends et réfléchis. Je lui dis : "Si je sais faire ça c'est que je je suis dans un rêve !". Je regarde autour de moi... Tout a pourtant l'air si réel. Je me souviens que je n'arrivais pas à me rendormir... J'y serais donc finalement arrivé sans m'en rendre compte ? Je dois bien admettre que je suis en train de rêver. Pour bien m'en convaincre à 100% je décide de passer à travers un mur. Je me dirige vers le garage (qui communique directement avec la cave) et cherche un mur bien dégagé. Mais finalement je préfère essayer de passer à travers la porte du garage, ça me fera moins mal si ça rate. J'attends que les ouvriers s'écartent... puis je fonce sur la porte... et je m'écrase contre elle. Merde, ça ne marche pas ! Mais je suis certain quand même d'être dans un rêve. Un ouvrier ouvre la porte alors je sors. Je croise ma cousine et je m'exclame : "Ho, Carole !". Mais je continue à voler droit devant moi car je n'ai pas envie de perdre mon temps à bavarder avec une simple copie onirique de ma cousine... Je me dis alors : " Et si je me réveillais ?"... Aussitôt le décor pâlit... je me reprends vite et dis : "Non, je ne vais pas me réveiller !" et je me concentre sur le paysage pour bien rester dedans... Je me rends compte que je me trouve à présent dans une rue de Maubeuge. C'est la foire et il y a plein de gens qui circulent devant les étalages. J'avance dans la foule en marchant et en flottant et ça ne semble étonner personne. Tout est très coloré. Je me remémore les points saillants de ce rêve pour ne pas l'oublier. Je crée ainsi des "points d'encrage mémoriels". Par exemple : ma rencontre avec Carole. Je continue d'avancer dans la foule. Devant moi il y a deux jeunes femmes qui bavardent. Celle de gauche a des cheveux lisses mi-longs et porte une robe verte. Celle de droite a de longs cheveux bruns ondulés, porte une robe à fleurs et tient une poussette. Elles m'empêchent de passer. Je me faufile donc en force en me glissant entre l'une d'elle et un poteau. Je me comporte parfois comme un petit con car j'aurais très bien pu les contourner. Je continue à avancer et j'entends une chanteuse inconnue chanter "Les choses de la vie" (rien à voir avec la chanson du film). J'écoute les paroles de la chanson puis je les fredonne... et j'oublie de rester concentré sur le décor...
La planète d’eau
On nous abducte sur une autre planète. Les extraterrestres, sous forme d'octopodes géants, nous ouvrent les portes d’un hangar et nous laissent faire quelques pas dans ce qui ressemble à des rues, avec des gens, lointains, des immeubles bordant des trottoirs. Tout s’efface du lointain jusqu’à nous et nous nous retrouvons les pieds dans 30cm d’eau. Je demande s'il y a des monstres marins sur cette planète recouverte d’eau. Apparemment non. Papa me donne quelques bd.
Rêve lucide comme un jeu video
Je me trouve en sommeil lent et je réfléchis. J'ai envie de faire un rêve lucide alors je commence à imaginer comment il pourrait être... et mes pensées se transforment en rêve pendant que je passe en sommeil REM... Je vole dans l'obscurité et arrive devant une grande image représentant l'entrée de mon rêve. C'est un paysage de désert de sable rouge; on dirait la planète Mars. Mais ça ne me plait pas alors je fais un geste vers le haut avec mes mains et l'image disparait en semblant s'évaporer en s'élevant. Je me sens le pouvoir de créer et de faire disparaitre des mondes entiers. Mais je me dis que je vais devoir me restreindre car sinon ce n'est pas amusant. Je me projette dans un autre décor. Je suis en train de voler au-dessus d'une réseau assez compliqué de routes devant l'entrée d'une ville... (... Passage mal mémorisé...) ... Ma lucidité baisse graduellement car je ne pense qu'à m'amuser en me servant de ce rêve comme s'il était une sorte de jeu vidéo en 3D, et je me laisse peu à peu emporter par l'action. Je vois un fourgon blindé de transport de fonds qui roule sur la route. La porte arrière est ouverte alors je descend et y entre. Je tire au pistolet-mitrailleur sur le chauffeur pour stopper le véhicule. Deux gardes me tirent dessus ... mais je n'ai rien à craindre car je sais bien que tout ça n'est pas réel. Je leurs tire dessus et ils disparaissent. J'ai vraiment l'impression d'être dans un jeu vidéo car d'habitude j'ai pour principe de ne pas tuer les personnages de rêves. Dans une boite plate en carton je trouve le trésor qui était transporté. Ce sont quelques lingots et des pièces d'or. Je fais remarquer à un complice imaginaire ou invisible que ces pièces sont étranges : Elles sont recouvertes d'inscriptions dans un alphabet qui m'est inconnu et certaines ont un rubis serti en leur centre. J'ai du mal à les ramasser et à les emporter car je n'ai pas de sac pour les mettre dedans.. (... Ellipse ou passage non-mémorisé...) ... Je regarde mon butin. Il a changé de forme : Ce sont maintenant de fines plaquettes en or, de la taille d'une main, de formes diverses. Je dis à mon complice imaginaire invisible : "A quoi ça pouvait servir ? Ce sont peut-être des objets rituels pour des cérémonies religieuses ?" (... Ellipse ou passage non-mémorisé...) Je crois que je viens de me réveiller. J'essaie de me souvenir de mes rêves. Soudain le dernier me revient en mémoire et je m'écrie : "C'était un rêve lucide !" Je m'en doutais que j'aurai des rêves intéressants en deuxième partie de cette nuit. J'essaie de me souvenir comment ce rêve avait commence... Il me semble que, au début, j'avais pris la forme de la déesse Diane... (... Ellipse ou passage non-mémorisé...) Je descend des escaliers en me disant : "Je fais de plus en plus de rêves lucides en ce moment. Je crois bien que je suis en train de passer un palier !" Et je jubile.
intervention teinture sous bois inondation fête foraine
plusieurs étapes. je trouvais des pelures et des noyaux d'avocats dans le jardin de ma grand mère et c'était super pour faire de la teinture mais j'avais pas le droit de les prendre, elle les utilisait comme engrais pour ses plantes :( ensuite je faisais une intervention à A. par rapport aux TCA qui me retournait l'intervention et c'était une boucle sans fin. ensuite j'étais avec d'autres personnes plus jeunes que moi et on se retrouvait un parc/bois (que l'on empruntait assez régulièrement) et qui était cette fois inondé, on devait traverser des sortes de ruisseaux comme des étangs, c'était à la fois effrayant et super, tout était très humide. pour finir on se retrouvait dans une sorte de fête foraine vente de gadgets, il y avait une atmosphère poussiéreuse et humide et ensuite je parlais avec une fille qui tenait une sorte de camionnette snack.
Le fou voyeur
Dans un appartement qui s'apparente de loin au miens, un homme passe sa tête par la fenêtre pour regarder J. et moi dormir. Il avait la soixantaine, les cheveux courts et blancs, un immense sourire pervers et des yeux possédés. Je tente alors de me lever du lit pour le chasser mais impossible, je me mets alors à ramper vers lui. Il rit de plus en plus. C'est alors que je prends conscience d'être en plein rêve mais je suis dans l'incapacité d'en sortir. Je suis aussi dans l'incapacité de bouger mais je parviens à émettre des sons. Heureusement, J. m'entends et me secoue l'épaule, ce qui me délivre du rêve et me permet enfin de bouger.
metro
je dois aller quelque part et donc prendre le métro mais c'est compliqué. l'entrée est super étroite. ensuite je ne toruve pas le ticket, quand j'essaye de frauder, les portiques envoient des micro décharges électriques. j'arrive à passer avec un vieux ticket finalement je décide de ressortir mais c'est complique aussi de nouveau ticket disparu, j'arrive à sortir mais je passe par un tourniquet et je fini par rerentrer et c'est ça plusieurs fois. je commence à être about. ensuite je me retrouve à l'endroit etroit par lequel je suis rentrée mais c'est impossible de sortir par là, il faut passer par une SORTIE, l'enfer. je fini par arriver à sortir et là impossible de comprendre par où je dois aller pour et je tourne en rond longtemps de plus en plus epuisée. je dois rejoindre mon frère. en même temps je croise une amie de ma mère qui m'offre des sortes de chaussures rebondissantes et je controle plus quand je marche, on passe sur un pont et il y a un bébé dans l'eau qui vient d'être balancé. je me retrouve dans mon appart mais dans un état second et incapable de faire quoi que ce soit.
Berlin
On me disait que je devais partir à Berlin en avion dans la journée. J’étais super étonné et pas prêt du tout. Du coup j’y suis allé mais j’avais super honte d’être à l’aéroport sans mon sac et pas douché.
Au revoir
On me dit qu’avant « à l’époque du patriarcat », dans la bourgeoisie, on ne disait pas « au revoir » car s’était signe d’une sorte de mise en avant. On partait comme ça.
La dent
Je perd une dent et une autre va bientôt tomber.
Violence ?
Je m’engueule avec le père d’O. (un ami) car il a été violent avec une fille. (Quelques jours avant, avec B., on a prit O. à part car il allait mal et il nous a parlé vaguement, mais en criant, de son enfance et - je crois, de la violence de son père. J’ai aussi rêvé que je déménageais (mais c’est impossible vu que j’adore notre espace)).
J’ai les cheveux très long
J'ai les cheveux très long.
l’ange noir
Je suis avec L. dans des rochers, il fait nuit, la mer est agitée. On doit rentrer chez nous, alors on décide de marcher dans l’eau qui arrive à nos épaules. On s’accroche aux rochers. Les étoiles brillent très fort. Nous rentrons à l’appartement qu’on nous a prêté. Il est identique à celui du 9 rue du ______ (appartement de mon enfance, chez ma mère) mais se trouve au dernier étage de l'immeuble. On se rend compte qu’il a de nouveau été cambriolé. Mais comme d’habitude, seuls les effets personnels de la propriétaire ont été dérobés. On en vient à la conclusion qu’il s’agit d’un maniaque voulant nuire à cette fille, ou peut-être attirer son attention. Le coupable est là, dans la cuisine. Le monstre, l’ange noir. Un mélange de Winslow dans Phantom of the Paradise, Edward au main d’argent, B. qui porte la pièce de C. mais avec d’immenses plumes noires. Il est effrayant mais triste. On comprend qu’il est amoureux. Il s’approche de nous, menaçant.
VITRAUX
Je suis avec mon amie L. dans un musée NYC. On entre dans une salle étroite, accessible grâce à une dizaine de marches. Sur la gauche il y a 8 vitraux au format paysage 80 x 60 cm environ. Ils ne sont pas “éclairés” par la lumière du jour, juste accrochés sur le mur blanc. Ils sont assez différents mais représentent souvent des fleurs, des natures mortes de fleurs. On passe devant sans s’arrêter, comme si nous étions lassées par ce genre d’œuvres. Finalement je dis à L. que je vais photographier un des vitraux. Il y a une fleur rose, comme une fleur d’églantier, pas très grande mais agrémentée de trucs autour — je ne saurais dire quoi, probablement du feuillage. Il y a une citation latine “no mis nunca es” qui veut rien dire, mais dans le rêve ça signifie “je ne suis pas une bonne mère”.
OEDIPE & BAGARRE
Je suis chez mon père, l’appartement est rempli d’objets — comme les couloirs du musée de l’Homme quand j’étais petite. Je suis allongée sur le carrelage de la cuisine. Autour de moi il y a des grands cadres emballés dans du papier kraft poussiéreux. Je suis entrain de me masturber. Je suis sur le point de jouir quand j’entends mon père introduire la clé dans la serrure 😵💫😬😖. Je sors ma main de ma culotte et je me relève. Mon père revient justement d’une soirée au musée de l’Homme. Je lui demande comment ça s’est passé. Il souffle l’air agacé et triste. Flash-back, je me retrouve témoin de la soirée. Il y a mon oncle - le frère de mon père. Il n’arrête pas d’humilier verbalement mon père devant ses collègues. Ils se mettent à se battre. Je me réveille subitement, en tachycardie. En me rendormant plus ou moins, je m’imagine frapper mon oncle avant que mon père se mette à le faire.
CATABASE RUISSELANTE
Je suis dans une sorte de camp de vacances avec les étudiants de ma deuxième promo. Les lieux sont très étranges, sombres et humides. Sur la route pour rejoindre la destination de notre activité, nous longeons un cimetière. Il est situé au pieds d’un mur de roche qui semble être comme moite, visqueuse et dangereuse. Il y a une grille noire. La végétation est sauvage, les tombes en très mauvais état. Il y a une fontaine taillée dans la roche, avec des sculptures évoquant les enfers : des satires, des serpents. C’est un peu le colosse de l’Apennin mais en dark. Je vole au dessus de l’eau de la fontaine. Puis, nous arrivons sur le lieu de l’activité. C’est une sorte de bain thermal suffoquant qui a l’air mauvais pour la santé. La situation est désagréable.
Le lit d’herbes
H. entre dans ma chambre. Je suis dans mon lit et il vient à côté, se penche vers moi pour me parler d'un livre qu'il vient de lire et d'aimer, qu'il a découvert grâce à moi même si c'est un classique (Voltaire, je crois). Il manifeste beaucoup de familiarité : je m'aperçois notamment qu'il est entré chez moi par le balcon sans se soucier des traces de terre déposées par ses chaussures. Plus tard, j'assiste au chargement de ses affaires dans le coffre de la voiture de son père qui est vraiment plein. Je comprends qu'il rentre passer le weekend chez ses parents. Quand je remonte dans l'appartement, je vois qu'il a laissé ses espadrilles devant la porte de ma fenêtre. Un matelas est posé sur le balcon. Je pense qu'il a dû beaucoup pleuvoir parce qu'il est recouvert de végétation et je m'exclame : Oh, un lit d'herbes ! Comme c'est joli !
mer fertile
Sur une autoroute déserte, le soleil est entrain de se coucher - on dirait un jeu vidéo. Avec ma mère, garées sur la bande d’arrêt d’urgence dans un camion. Un énorme poids lourds remplis de ses (ou nos) effets personnels. Nous vivons dans ce camion - au moins pour un temps, peut-être s’agit-il d’un moment de transition. On s’apprête à se coucher dans la cabine, on se met en pyjama, on se brosse les dents. Ma mère est enceinte. On s’éloigne du camion avec une valise puis je vois une voiture arriver au loin. Je lui dis de courir. On court se réfugier au près de notre camion dont la porte arrière est grande ouverte et laisse découvrir l’amas d’objets qu’il contient. Ma mère a du mal à courir avec son ventre, moi avec la valise. Un peu plus tard nous sommes dans une sorte du supermarché d’autoroute lugubre. Je demande « Maman tu es enceinte ? » Elle me répond « non non pas du tout » de son air que je connais bien et qui veut signifier que je n’ai pas à m’occuper de ça. Plus tard, je suis seule à Banyuls (rien à voir avec le Banyuls que j’ai expérimenté dans la vraie vie). Une seule grande plage très en pente, presque dangereuse, avec quelques paillotes et une grande cuisine de plage troglodyte taillée dans une roche très foncée et humide. Il y a pas mal de monde, les gens ont l’air de tous se connaître, d’avoir vécu une expérience extra-ordinaire à cet endroit. Quelques choses que je ne peux pas encore comprendre. C’est une amie qui m’a donné le plan : elle connaît des gens ici qui peuvent m’accueillir pour que je sorte un peu de Paris. Je viens d’arriver dans mon camion (bcp plus petit, un van de globe trotteur), il est 19h30 et je m’aperçois que je vais avoir du mal à trouver un tabac ouvert. Tant pis. Je suis prise en charge par les propriétaires de la cuisine. Ils me font manger des pinces de crabes avec une mayonnaise. Je peux sentir toutes les saveurs. Il fait nuit désormais et tout est éclairé aux lampions, l’air est chaud et humide. Après dîner, je décide de laver mes habits dans la mer. Les gens m’observent de loin. Tout le monde a l’air à la fois très serein et à la fois dans un état un peu étrange, de torpeur pas très saine. Les vagues emportent ce que je suis entrain de laver, je suis en lutte pour récupérer mes affaires qui s’échouent sur le sable avant de repartir à la surface de l’eau faiblement éclairée par la lune. J’y parviens mais je suis épuisée.
La peur
Rêve très court mais angoissant. Sentiment de vide. Ma maman me dit : ça y est le fn est là la guerre arrive.
La baignade
La campagne,Je descend une allé graveleuse bordé par des cyprès, la saison chaude me fait parvenir leur odeur acide mais agréable. Le chemin est de terre rouge, ocreuses. Ma marche est lente et je ressent la solennité de la scène, du lieux. Devant moi un bassin. D’une eau turquoise il est nappé de nénuphars et recouvert dun voile vivant du vol des moustiques. Je continue ma descente je me trouve maintenant dans l’eau. Sa fraîcheur me saisit les mollets. En baissant les yeux je vois que je porte dans mes bras un enfant. Il est nue et Il paraît dormir. Je lui donne le bain, l’atmosphère est paisible. Je comprend que cet enfant c’est moi, d’un passé inconnue. Je me réveil en pleurant
Le parfum
Je suis dans une impasse fumante salle et sombre la rumeur de la ville n’est pas loin. Je tiens une bouteille de parfum dans la main droite. Je l’a bois d’un trait et des ailes d’ange me pousse sur le dos. Je m’envole dans un élan rapide et vertical.
Braquage de lingot
Alors que j'arpente les rues, un braquage se déroule sous mes yeux. Je me décide à intervenir, non pas pour empêcher quoi que ce soit, mais plutôt pour prendre ma part du butin. Je me joins donc aux braqueurs qui ne semblent pas du tout être dérangés par ma présence. Nous rentrons dans la pièce sécurisée où se trouvent pleins de lingots d'or, des milliers. Puis nous nous saisissons d'un seul lingot chacun avant de repartir tranquillement, comme si de rien n'était. Sans doute était-ce trop lourd pour en voler plus...
Le métro
Dans un pseudo-Nanterre, je suis avec mon cousin et on veut voir où mène un accès au métro. Alors on saute les portiques pour voir mais il y a des contrôleurs qui nous poursuivent et avec le monde et les murs, tout devient labyrinthique. Je réussis à m’enfuir en me faufilant et sautant les obstacles mais mon cousin se fait prendre. Il reste des heures dans un bureau et de l’extérieur, j’appelle le bureau, une femme très gentille répond et en lui expliquant la situation elle le laisse sortir, il était juste à côté d’elle. Dehors il est impressionné de ma verve et moi très fier de l’avoir sorti de là.
UN PETIT SOMME
Dans un jardin je découvre différentes fleurs, je me balade, découvre des gens, en voulant attraper quelque chose, je sens mes mains liées et dans l'incapacité de tendre la main. C'est à ce moment que je commence à prendre conscience que je rêve et qu'il s'agit de mon corps qui dort comme une momie, mes bras et mes mains obtiennent des fourmillements. Mon inconscient veut m'amener ailleurs, m'occuper le cerveau pour oublier ma prise de conscience. Un protagoniste me propose d'aller visiter la maison qui se trouve dans le jardin en question, j'accepte et me laisse transporter dans la maison gargantuesque. On rentre dans une salle, aperçois un canapé et m'allonge un instant. Je m'étais rendormi dans mon rêve, c'est alors que je me réveille dans, allongé dans le même canapé, la nuit était tombée, et distincte une lumière de télévision contre le mur. Une personne, dans la pièce d'à côté séparé d'une porte vitrée regarde une émission. Je comprends le danger, je me suis endormi dans le canapé, j'ai été oublié et maintenant je dois manifester ma présence sans apeuré la personne au risque de me faire tuer. Tué, car il s'agit là d'une maison assez rustique et que j'en comprenais que l'homme de la maison était chasseur, et que s'il me découvrait aussi tard chez lui dans son canapé, cela pouvait déraper. J'essaie alors de parler, mais je tousse, ma langue me paraît vraiment très lourde mais il m'a entendu. Je l'entend se lever de sa chaise, il se dirige vers moi. "Monsieur, je suis..." Impossible, j'essaie de sortir du canapé, impossible de me lever à l'aide de mes bras. Je prends non seulement conscience que je rêve mais aussi que je suis en train de faire ma première paralysie du sommeil. J'ai un peu peur car j'avais entendu les retours d'expériences de paralysie du sommeil. J'essaie de me débattre pour avertir la personne de manière soucieuse que je suis présent chez lui, mais des fourmillements me prends tout le corps, impossible de décoller mes mains. Je finis par prendre conscience que je suis bien chez moi après que mon cerveau ai interprété l'espace pour le transformer en un autre lieu. Je me réveille, toujours coincé, impossible de parler, je finis par sortir la phrase de ma bouche qui me fait comprendre que je suis pour de bon réveillé. "Monsieur, je suis désolé, je me suis endormi chez vous lors d'une visite."
SUBTIL TOUX
Les insectes étaient engloutis dans une espèce de chose gluante. Je les sauvais. Une abeille, une chenille, un écureuil (qui m’a léché pour me remercier). Nous nous reculons et nous regardons dans le ciel, il y a comme des méduses, ça ressemble à un bug numérique. J’hallucine, il y en a pleins. Un homme en prend une et souffle dedans. Elle devient noir puis on aperçoit des ombres à l’intérieur qui évoque le déroulé de sa vie, comme un film. Elle se referme en coussin puis se transforme en pot de fleur, dans un style mortuaire, avec inscrit « subtil toux », ce qui était ironique car l'homme fumait et ça sentait.
Le gorille-sable mouvant
Je vois une pente, j’étais avec un mec, quelqu’un, je me rappelle plus qui. Et on voit un gros gorille sur la pente. Je ne sais pas comment ça a commencé, mais il a commencé à s’intéresser à nous, et à vouloir nous prendre, et quand il prenait quelqu’un, c’était comme des sables mouvants. Et à un moment mon pote il s’était fait capturer par le gorille, et moi j’arrivais, puis je donnais des coups de pieds pour le libérer, puis du coup moi mon pied se prenait dans le sable mouvant-gorille, avec des énormes efforts, j’ai réussi à me libérer, on a couru dans la rue, et on s’est réfugiés au sous-sol de la boutique PSG des Champs-Elysées ; il y avait beaucoup de gens parce que c’était transformé en dortoir, j’ai croisé C., qui rigolait de la situation, avec des lunettes, un t shirt bleu et un caleçon. Le singe, dépité de ne pas nous retrouver, on l’a vu s’éloigner, à partir du bas, je disais à C. que S. et moi on se faisait poursuivre, donc l’autre mec n’était peut-être que S., je ne sais pas.
La paire de Nike volée
Avec ma copine, dans une avenue commerciale, on entre dans un magasin Timberland sur plusieurs niveaux. Après s’être fait ami-ami avec les vendeurs et avoir essayé différentes paires de Nike (ça a duré 5 heures), je réussis à sortir une paire trop belle, avec du violet dessus, sans la payer. Mais en regardant de plus près, elle s’était transformé en babouche de cuir que j’avais acheté pour mon père. Je les ai jeté d’un coup de jambe et on se dit, avec ma copine, que la réalité refuse de me laisser voler la paire de Nike, à deux doigts de la lucidité.
Exploration de la galaxie
J’explorais Pluton, même si elle ressemblait plutôt à Mars
La chute de l’astéroïde-animal
On nous prévenait à la télé ou à la radio qu’il y avait des météorites qui tombaient du ciel. À un moment j’en recevais une sur la tête : c’était plutôt chaud et agréable. Avec beaucoup d’efforts j’arrivais à l’enlever de ma tête et la poser par terre. Elle ressemblait à un gros boudin noir. Au bout d’un moment elle commence à bouger : c’est un animal, comme un gros chat. Je ne me rappelle plus très bien, mais je me suis dit qu’il avait trois niveaux de pensées, ou de présence (au lieu de 2 pour les chats normaux, je sais pas trop ce que ça veut dire). Au bout d’un moment l’animal se balade tranquille chez moi. Mes chats sont effrayés, n’osent pas sortir de leur cachette. Je me dis qu’en tombant la météorite-animal a du faire un gros trou. Au début je n’en vois aucun, ce qui me fait peur. Puis je finis par voir un petit trou sur une vitre genre vélux. Toute la scène était assez sombre, comme s’il pleuvait dehors, de nuit.
Les rats, les gens et le vice
Nous parlons avec L. dans un hall d’immeuble. Nous remarquons de l’extérieur qu’une femme et un homme arrivent. La dame demande à L. si nous avons accès au 1er étage. Elle dit que oui. La dame la prend dans ses bras et lui dit qu’elle va très mal. Nous nous retrouvons avec eux dans une chambre et nous demandent de nous inscrire sur un site internet, après nous avoir posé une question très étrange: aimez-vous les relations sexuelles avec les rats de très grande taille? Je crois qu’ils nous demandent même si nous aimons nous masturber en regardant ces rats. On est dans des lits simples, eux d'eux d’un côté et nous de l’autre. L. répond que non et qu’en plus, elle ne se masturbe pas. Moi je dis que non pas du tout. Ils nous avaient tout de même ajouté sur un site sur lequel nous sommes désormais bani. Personne ne dit plus rien, on va comme s’endormir. Mais je suis vraiment mal à l'aise alors je demande à L. si nous devons nous excuser. Je leur demande pardon très fort et ils feintent de se réveiller (alors que je les avais entendu parler). La femme et le jeune homme se lèvent et courent sur moi pour m'étrangler, L. met du temps à le remarquer puis s'affole, elle essaie de me sauver. La femme crie et L. aussi. Je crois qu’on réussi à s’échapper.
Le cosplay et Dieu
Je suis avec des filles autour d’un cercle spirituel. Je comprend que c’est en l'effigie de l'adoration au manga. Alors moi, je me retire, je n’aime pas trop le Cosplay. Il faut quand même, pour le cercle, que je dise qui est mon Dieu. Alors je répond naturellement « I don’t know him/her ». Maman me dit alors « J’ai rencontré ton ou ta Dieu lorsque j’avais 17 mois. J’étais dans une voiture et ils étaient tous de nationalités différentes, je ne comprenais rien. »
Les autres
Je me réveille et me rappelle avoir dit cette phrase dans mon rêve: L’évolution des paroles à son être trouve l’évolution des paroles à son autre
Les signes au diable
Je participe à un appel de signes au Diable. Le signe est : la main gauche paume contre le ciel et la main droite fait un rond au dessus de la paume en bas à droite de l’autre main, avec l’index et le pouce se touchant. (Dans la soirée précédent ce rêve, j’avais dit que Dieu était un travesti et le matin même, que le père Noël était Satan et Dieu, un seul et même homme).
Le serpent
J ai rêvé que je marchais dans la rue on déambulait dans une fête . Et tout à coup une femme me dit regardez j ai trouvé un serpent sur la route il était petit et fin elle le met dans un terrarium qu elle portait je lui dis faites attention il peut être venimeux elle me dit non je connais cet espèce. Et puis plus loin on voit un monsieur qui porte un énorme boa pour le remettre dans un enclos il parle au boa en lui disant : il ne faut pas aller sur la route tu vas te faire écraser! Puis d un coup je vois le boa l enrouler et le serrer de plus en plus fort l homme ne crie pas mais commence à étouffer. J hurle à l aide à l aide mais on ne peut rien faire j essaie de téléphoner au 15 sans succès et j entend téléphone aux flics il est mort et je me réveille.
Puissante dans la vase puis menacée meurtrière
d’abord, je suis l’Assistante d’A, la mère de D. Près d’une grande « piscine » plus un étang, délimité par de la vieille pierre. L’exercice c’est de ramasser, il me semble des choses à manger sur la surface de l’eau comme la mousse qui traîne au-dessus des nénuphars. Elle explique à un groupe de personnes au bord de l’eau. puis après avoir longtemps acquiescer, je saute à l’eau sur une espèce de barque. allongé sur le dos, la tête vers le ciel. À la toute fin de la bouée, ils sont impressionné. je ne sais plus ce que je fais dans cette position. À un moment je plonge au fond de l’eau et je dis: J’ai pas peur de me mouiller et d’aller côtoyer la vase. À ce moment je suis Charli XCX je me remplis de vase et je sors de l’eau. Autre épisode. je dois me protéger. Je tue des gens. L’un veux me faire sentir l’odeur de son caca, dans une boîte avec dedans de la weed et du caca. Un autre mange un gâteau et le ressort par le cul. Et veut me le faire manger. J’ai perdu la mémoire sur toute cette partie mais je me souviens avoir tué plusieurs hommes. De mes seules mains. en les tordant. Je me souviens que le dernier je l’ai tordu en 1000 morceaux. Son cou tordu contre son épaule. tout ça comme un Picasso. Puis je le jette par la fenêtre et il meurt enfin.
La chèvre siamoise
Avec deux amis on veut rentrer dans une mosquée géante avec des milliers de personnes. Ils ont tous les deux des chaussons musulmans alors que moi j’ai de grosses chaussures d’athée un peu. J’ai vraiment l’impression qu’ils connaissent ce lieu avec ses codes et mon ami me demande d’aller acheter des choses avec nos 15 euros à une dame (qui n’avait pas l’air très religieuse). La dame me vend des images de Dragon Ball 2 imprimées à partir de capture internet sur des feuilles A4. Puis elle se trompe et me rend 100 euros. Vu qu’on est dans un lieu saint, je lui dis qu’elle s’est trompée. Je reviens vers mes amis et je dis à un des deux que je ne veux pas payer des images pris sur internet pour 15 euros. Il comprend et me donne ses chaussons. A peu prêt deux jours plus tard, je suis en Espagne avec ma copine. Il fait très chaud et on monte dans un bus. Comme elle parle très bien espagnol et connait le pays c’est elle qui parle. On pousse l’argent dans la machine qui l’aspire et nous renvoie la monnaie de l’autre côté (pas assez car il manque des pièces), ainsi que de nombreux goodies papiers cartonnés et plastifiés avec des images et des textes. Je crois que c’est à la passagère d’à côté qui l’a oublié mais pas du tout, je ramasse l’ensemble. On avance au fond du bus vers un groupe de jeunes et ma copine se place à côté d’un jeune homme qui sourit à la vie puis qui lui passe son bras autour du cou et je la gifle et lui demande ce qui lui prend. Tout le monde sourit et personne ne dit rien. Finalement ca m’arrange car j’attrape une fille qui passe par là et on cherche à s’asseoir. Je sais que c’est pas grave car c’est un jeu avec ma copine. On se place derrière elle et à côté de moi un homme, que j’ai déjà vu durant la réunion familiale (que je raconterais après) où se tient les mises à jour familiale, me parle d’un couple qui entre ou qui sort de la famille, je ne me souviens plus. Arrivée à destination je suis dans une rue vide faite de poussière et de glaise sèche et avec mes deux amis du début, on marche lentement et une famille tzigane (d’où l’Espagne) nous entoure gentiment, mais un jeune garçon parle tout près de mon corps, je sens que c’est bizarre et je leur cris dessus. Tout va trop vite et on court tandis qu’ils nous jettent des pierres. Puis on arrive dans un potager du style jardin ouvrier et on parle à un vieux paysan mais j’ai l’impression que mes amis le connaissent. Oui c’est vrai. Le paysan nous fait entrer dans son enclos et des centaines de chèvres nous entourent et nous font des câlins. C’était des chèvres déformées à huit yeux et dix pattes, trois cornes et poilus ou siamoises et sa grosse femme crie au cheval géant de s’arrêter pour qu’on puisse passer.
Mémé
Je suis dans une salle de réunion avec des gens qui parlent et s’occupent d’histoires familiales et on m’apprends les nouvelles importantes de untel qui s’est marié et l’autre qui s’est séparé. Dans la salle de réunion se tient ma mémé qui me regarde et sourit.
L’attentat pictural
Je reviens dans le passé, soit en 2004 ou 2014, en tout cas avant les attentats. Je ne voulais prévenir personne pour ne pas inquiéter l’ordre spatiotemporel des choses, mais quelqu’un me paru familier et par bonté simple je lui dit de faire gaffe à la violence prochaine, d’écarter sa famille des lieux qui sont Nantes et l’Afrique. Je lui dis aussi de ne surtout rien entreprendre pour annuler in extremis cette violence car je ne sort pas encore avec ma copine et sans les attentats il se peut que l’ordre spatiotempogeorgesorwelliens des choses soit déséquilibrés et que je ne l’a rencontre jamais. Les attentats viennent de se produire, ils recherchent activement l’auteur pictural des méfaits. Dans le métro, je suis avec ma copine et je sais que devant moi se trouve ce peintre violent. Je lui parle alors du concept de violence, du lien entre l’Islam et la France. Lui me dit qu’il n’est pas contre Daesh et soudain, sortant une lame de sous sa pioche et la plaquant contre ma glotte, il me murmure à l’oreille que depuis le début il a envie de m’égorger (l’acte terroriste précédent était le premier acte violent avant Nantes et l’Afrique, il avait égorgé une femme). Soudain ma copine lui prend son arme et s’engage une mêlée jusqu’en haut des escaliers qui finit par sa fuite, suivit par une horde de sécurités que j’avais interpellé.
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